Chapitre 8 - voyage

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NDA: je repost le chapitre donc lisez-le. Je vous explique à la fin :)

7heures 45
Etats-Unis, New York.
Shelly.

Le réveil fut brutal. Non pas par l'heure à laquelle le soleil a décidé de pointer ses rayons à travers ma fenêtre pour atterrir directement sur mon visage. Mais par la gueule de bois et le terrible mal de crâne qui m'assaille le crâne quand j'essaie de faire ne serais-ce que n'importe quel mouvement. J'ai comme l'impression que des dizaines de marteau piqueur s'amusent à composer une symphonie. J'ai peut être abusé sur l'alcool hier soir tellement, que je ne me souviens pas du comment j'ai pus atterrir dans ma chambre.

Je tente de me lever de ce délicieux refuge appelé lit, malgré ce boucan infernal qui se trame dans ma tête et je réussi finalement à me lever sans manquer de retomber au point de départ. Je me traîne jusqu'à la salle de bain sans manquer de me ramasser sur mes vêtements jonchant le sol. Après ce court trajet qui me passerait être une éternité, je déboule dans la salle de bain et retire les seuls vêtements couvrant mon corps, c'est-à-dire mes sous vêtements et me glisse sous la douche. Un bon jet d'eau froide pour me réveiller, me permettra j'espère de pouvoir affronter le reste de ma journée. Je coupe l'eau et enroule mon corps dans une serviette. Je me dirige toute trempée dans ma chambre pour m'habiller et choisis, n'ayant pas la force de m'habiller plus élaboré, un tailleur noir et des escarpins. Simple et efficace.

Je me dirige vers la cuisine et prend un café et une banane. Je n'ai pas beaucoup d'appétit le matin. J'avale mon petit petit-déjeuner. Et retourne chercher mes affaires. Heureusement que je l'ai avais préparer hier car je ne suis pas d'humeur là.

                         ~~~

Le chauffeur me conduit jusqu'à un immeuble composé de 10 étages de briques rouges, couvert de graffitis. Des poubelles jonchent le sol comme des mégots de cigarettes et bien plus encore sûrement. Je pénètre dans  le bâtiment qui n'a plus de porte. L'intérieur n'en est moins avantageux. Un odeur de pisse émane des escaliers. Pas de chance l'ascenseur est en panne. La peinture grise et triste s'écaille et laisse entrevoir des graffitis. Je monte les escaliers jusqu'au 8ème étages avant de toquer à la porte.

Un mexicain, au crâne rasé et corps couvert de tatouages vient m'ouvrir la porte et avant de m'inviter à entrer, il regarde derrière moi, à droite puis à gauche pour vérifier que personne ne n'avait suivie. Sa précaution prise, il s'enfonce à l'intérieur et je le suis sans oublier de fermer la porte. Il m'emmène dans une pièce éloignée de tout, à l'arrière de son appartement. L'obscurité résignait sur cette pièce sauf une table trônant au milieu était éclairé par une ampoule suspendue par un câble. Sur cette table se trouvait plusieurs sachets contenant différentes poudres blanches, la raison de ma venue ici. Il me détaille sa marchandise. En même temps que je l'écoute, je ne pus m'empêcher d'observer la marchandise. Au premier regard elle semble de bonne qualité. Mais quand on la sniffe, on peut se rendre compte que c'est de la kamelote et en plus il souhaite un bon prix. Je mime une tête convaincue et hoche la tête à chaque informations qu'il pense me faire avaler. Face à son expression satisfaite, je dégaine mon SIG et lui tire dans la jambe gauche : ça c'était pour avoir voulu m'arnaquer. Il cri de douleur et se tient la cuisse en sang. Une autre balle atterrie dans sa cuisse droite, ça c'était pour égaliser les deux jambes. Il tombe à terre dans un bruit sourd et se dandinant de douleur. Je m'approche de lui et le surplombe de ma taille. Il me fixe d'un regard rempli de haine et m'insulte :

- salope, attend que je me lève et j'aurai ta peau.

- Je dirais pas sa quand tu es sur le point de te prendre une balle entre les deux yeux de la salope comme tu l'appelles. Je le vise de mon arme avant de lui lancer mon plus beau sourire insolent et d'appuyer sur la détente. Celui-ci c'était pour m'avoir pris pour une gourde doublé d'une salope.

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