Chapitre 13: mission

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Manhattan, Etats unis, New York
June.

Rien qu'en les regardant on pouvait facilement deviner ce qui se trame entre eux ou peut être étais-je la seule à le remarquer. Ou peut être il n'y avait rien a observer. Qui sait peut être, je me trompais.

Mais après avoir passer des jours à vivre avec eux et à les observer, même un aveugle pourrait le remarquer . Mais bon les principaux concernés ne semblaient pas le voir. Apres tout comme je l'ai dit, je délirais peut être. Qui sait?

Ce dont j'étais sûre, c'est que ces deux là sont comme chiens et chat, eau chaude et eau froide, le tonnerre et la foudre, le beau temps et la pluie, ange et démon. Vous avez compris ce que je voulais dire.

Ça faisait deux semaines et c'est deux là n'arrêtait pas de se chercher des noises. Pas à m'en déplaire ça rajoutait du piment dans la maison mais il m'accaparait mon amie.

Par exemple, la dernière fois, ils s'étaient disputer pour du café. L'un avait fait le café de l'autre trop amer et pour se venger avait salé son plat en retour pendant que celui ci avait le dos tourné. N'empêche, c'était fort marrant à observer, on avait l'impression de regarder un vieux couple marié.

Malheureusement ce gosse n'est bon cas ouvrir sa bouche. Le maniement aux armes blanches pour lui est un vrai casse tête. Le canif va encore mais les poignard et les couteaux sont mission impossible je m'attendais à mieux venant d'un cuisinier surtout que c'est moi qui doit me coltiner son entraînement.

Tient en parlant du loup? le voilà qui débarqua dans la salle d'entraînement pour notre entrainement et qui comme à son habitude est en retard . Je lui fis savoir en le grondant même si je sais que je parle à un mur.

-tu es encore en retard

Le réprimandais-je en croisant mes bras sur ma poitrine et tapant du pied en signe d'énervement.

Il me regarde hautainement avant de répondre sur son ton insolent habituel:

- bravo Sherlock et toi t'es encore blonde.

Je choisis de e pas soulever la remarquer et de le faire regretter à l'effort. Avant même qu'il n'ait eu le temps de se débarrasser de ses affaires que je m'élançais sur lui et lui fit une prise de sommeil. Tout en le m'attenant, je le plaquais au sol et continue de serrer encore plus fort lui provoquant une crise de toux. J'encerclais son bassin de mes jambes avant de contracter et de le retourner sur le ventre et de le maintenir encore plus fort sur le sol pour empecher tout mouvement.

Remarquant son visage rouge, je relâchais ma prise avant de me relever pour me repositionne en garde. Par fair play, j'attendis qu'il se relève de mon attaque avant de renchérir avec un crochet du droite qui atterrit directement sur sa mâchoire et d'esquiver sa riposte. Il renchaina avec une uppercut que je contrais de mon poing avant d'enchainer en m'abaissant et de lui offrir mon tibia dans le fémur. Il s'effondra mais se relève difficilement mais directement comme Shelly lui a appris.

Beaucoup trop pris dans notre combat, nous ne remarquions pas la porte qui s'ouvrit et encore moins l'arrivée de Shelly qui s'assit en silence, sur un banc face à nous pour observer notre combat. Je dégainais mon couteau et lui ordonnai de me désarmer comme dans la réalité. Il faut parer toute éventualité.

- Un adversaire avec une arme va plutôt se servir entièrement de celle ci en oubliant son corps qui compte pour beaucoup. Alors quand tu les désarmé il sont complétement à nus .

Il se positionna en garde, attendant mon assaut que je lançai en fonçant couteau pointer vers lui espérant le toucher mais pas non plus le blesser. Il esquiva par un mouvement du buste par la droite avant de me saisir le poignet et de tirer vers l'arrière m'obligeant à accélérer la cadence . Malgré sa bonne manœuvre, je suis rancunier et va donc pas lui faciliter le travail et dégaina de mon soutient gorge, une dague pour lui érafler la hanche Il poussa un petit cri de douleur avant de me fixer d'yeux mécontent de mon subterfuge.

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