Manhattan, Etats unis, New York
JacksonLes matins dans cette maison étaient relativement calme en omettant l'autre démone sexy. La literie était d'une douceur comparable à des nuages et sentait l'adoucissant Le chat à la lavande. Mais ce n'était rien comparé au reste de ma chambre : une salle d'eau attenante avec douche à l'italienne et baignoire en porcelaine avec lavabo et toilette en porcelaine. J'avais également une grande chambre avec vu sur la piscine et le jardin extérieur. Une porte coulissante avec balcon surplombait ce jardin paradisiaque.
depuis le peu de temps que j'habitais ici, j'avais remarqué beaucoup de chose dans cette maison:
1- les propriétaires étaient des diablesses de vraies .
2- la demeure comportait 10 étages dont:
- le 4eme, le nôtre étant interdit d'accès aux autres personnes
- le deuxième et rez-de-chaussée étaient réserver au travail
- et ceux du dessus étaient inconnu pour moi.D'ailleurs des règles avaient été instauré pour je cite "permettre la bonne cohabitation entre nous". Mensonge, balivernes. Elles ont été spécialement mises en place pour moi. J'avais pour ordre de faire, chaque matin, le café de Shelly. Je devais aussi accompagné June faire du shopping quand Shelly refusait, c'est-à-dire trois quart du temps juste par méchanceté envers moi. Par contre, si je refusais elles me punissaient en me maltraitant.
En parlant du café, il fallait justement que j'aille le préparer. Je sortais de mon lit et allai faire comme chaque matin, un café sucré à madame. Je revêtis sur mes jambes dénudés, un pantalon de pyjama bleu à rayure blanche puisque le règlement l'oblige : j'avais pour ordre d'être un minimum couvert pour "ne pas heurter la sensibilité des plus jeunes" alors que je suis persuadé qu'elles ont vu pire. Même si ces règles ne me conviennent pas, je n'ai pas d'autre choix que de les appliquer.
Je sortais alors de ma chambre en prenant soin de fermer la porte pour préserver mon intimité et traversait le couloir pour me rendre dans la cuisine quand je croisai Shelly, sortant de la salle de bain, habillée de manière léger.
Elle était vêtu d'une débardeur, noire, près du corps mouillant sa taille et d'un short dévoilant ses jambes. Malgré cette simple tenue et sa tête du matin, elle restait charmante. Tout de même, je me ressaisis et l'interpella :
-eh la prêtresse démoniaque, je peux savoir pourquoi t'es dévêtues comme ça ?
- parce que c'est chez moi à ce que je sache, nan?
-oui et alors c'est pas une raison. Pourquoi j'ai eu obligat....
Elle ouvrit la bouche pour rétorquer mais je la coupait, d'un signe de l'index, avant qu'elle ne pu prononcer ne serait-ce qu'un mot.
- j'ai pas finis de pousser mon coup de gueule.
Elle roula des yeux en signe d'agacement et je poursuivis :
-donc je disais, je trouve injuste que tu te balades dans cette tenue laissant lib..je fis descendre mon regard sur son corps... le champs de vision tandis que moi je peux pas .
Je lui autorisa à parler après avoir poussé mon coup de gueule.
-alors sache que j'ai fais un effort, j'ai mis des sous vêtements, d'habitude je n'en met pas tu peux demander à June et puis je trouve que tu prends t'es aise.
Elle se retourna et commença à partir :
-bon c'est pas tout mais j'ai un café à prendre .
Je l'arrêta :
-hep pep pep.
Elle tourna sa tête et me fit face de son regard interrogative :
- avant de prendre ton café, j'exige que tu t'habilles plus... couvrant
J'essayai de prendre un ton autoritaire même si son expression interloquée et jugeante était extrêmement drôle. je m'attendais a me faire démonter mais au contraire rien ne se passait.
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DOMINANTE
General FictionDepuis ce jour, où tout à commencer, cette femme hante ses pensées. Il est littéralement obsédé par elle. Tout chez elle l'attire. Son image tourne en boucle dans sa tête comme un vieux disque rayé. Tandis que elle dirige une organisation criminell...