Manhattan, New York, Etat Unis
Shelly
je me reveille avec un mal de crane insoutenable. Qu'ai je bien pu faire hier pour être dans cette état. Je tente donc de me relever mais maintenu par un gros bras, me retrouve rallonger sur un buste tandis que ma poitrine retombe sur le torse de l'inconnu et que ma tete se niche au creux de son cou. Une odeur caramélisée s'introduit alors dans mes narines dû a cette proximité. Je me laisse enivrée encore par cette odeur inconnu mais étrangement familière.
Profitant de notre proximité, j'effleure du bout des doigts le torse bien musclé de mon coussin. Je passe délicatement mes ongles vernis sur les pectoraux bien saillants en accentuant bien sûr les courbes avant de glisser délicatement sur les abdos en marquant bien les démarcation . Au rythme de mes caresses, je sentis son torse se révélé de plus en plus vite ce qui me donne encore plus envie de le titiller. Je refais le chemin inverse et titillait ses tétons de droite à gauche puis entre mon pouce et l'index. Je continue de m'amuser en ignorant la tension qui augmentait au fur et à mesure de mes passages. Je continue mon chemin jusqu'à son cou et a peine ai- je touché sa peau que sa main vient me saisir les fesses pour me recoller contre lui et sentir son membre qui ne semblait pas indifférent à mes caresses. Sa main vient finalement se poser fermement sur le bas de mon dos et son souffle redevient de plus en plus lent.
Je continue donc de le titiller et reprend mes caresses. Je commence par marquer ses clavicules puis ensuite remonte son cou, joue avec sa pomme d'Adam avant de lui attraper violemment le cou et d'y déposer des baisers. La tension augmente, nos corps sont si proches que nous pouvons y sentir chaque poil qui se hérissent , nos respirations deviennent de plus en plus haletantes et notre désir augmente de plus en plus.
Je décide de prendre le contrôle et approfondie les baisers jusqu'à mordiller son cou sauvagement puis remonter le long de sa mâchoire. En même temps, sa main remontait le long de ma colonne vertébrale, me procurant des frissons dans tout le corps puis vient se loger dans ma nuque. Il y mit une pression, ce qui accentue mes caresses. Avant finalement de me relever la tête et de l'approcher de la sienne.
Quand je croise des iris bleues et que soudain les souvenirs de la veille me reviennent en mémoire. Je me relève et me défait de son étreinte rapidement en me rappelant la bêtise qui s'est passée hier. Une excès de rage me traverse. Une rage contre moi même tandis qu'une profonde angoisse grandit en moi et me tiraille les entrailles. Je m'enfuis en direction des toilettes vomir les restes de hier tandis que j'essaie d'éviter du mieux le regard rempli d'inquiétude et d'incompréhension de Jackson.
Sur le chemin, je manque de tomber en courant tandis que des brides de ma confession et de souvenirs me reviennent en mémoire. Pourquoi à t'il fallu que j'ouvre ma bouche et encore plus à ce gamin. Je commence à regretter amèrement ma confession nocturne. Il pourrait utiliser cela contre moi en le divulgant a son oncle ou pire à nos ennemis. Je devrais définitivement arrêter de boire et même de le côtoyer. Tout cela à cause d'une stupide mission, on m'a confié un incapable qui me déconcentre de mes objectifs.
Pendant que je recrachais les restes de hier, j'avais récupéré la totalité des souvenirs de la vieille et j'hésitais à sauter d'une fenêtre ou lui tirer une balle dans la tête. Sans oublier que je l'avais attaqué dans son sommeil. sérieusement c'était la goutte de trop. Je suis décidée à le renvoyer chez son oncle dès l'heure suivante. Pour l'instant j'ai besoin d'un Doliprane et d'un bon café.
Je commence donc à fouiller dans le tiroir à pharmacie à la recherche d'aspirine ou de médicaments pour le mal de tête. Je fouillais dans le placard quand la sentation de sa main sur mon dos me revient en mémoire et déclenche en moi un excès de rage, envoyant valser toute les boîtes du placard qui retombèrent sur le sol dans un bruit lourd. Je détestais le semblant d'emprise qu'il détenait sur moi, je détestais qu'il arrive à me scanner, qu'il arrive a ce que je m'ouvre à lui. Tout cela j'en avais horreur. Et je compte bien y mettre fin.
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DOMINANTE
Ficción GeneralDepuis ce jour, où tout à commencer, cette femme hante ses pensées. Il est littéralement obsédé par elle. Tout chez elle l'attire. Son image tourne en boucle dans sa tête comme un vieux disque rayé. Tandis que elle dirige une organisation criminell...