40. Mon père

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𝑪𝑯𝑨𝑷𝑰𝑻𝑹𝑬 40
𝓜𝓸𝓷 𝓹𝓮𝓻𝓮

JE ME FAIS VIOLEMMENT sortir de mon sommeil par mon réveil, que j'ai, pour une fois, mis

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JE ME FAIS VIOLEMMENT sortir de mon sommeil par mon réveil, que j'ai, pour une fois, mis.

Comme hier je n'ai pas apporté un bon chocolat chaud à Damian, je veux absolument me rattraper aujourd'hui.

Il fait tellement de choses pour moi sans vraiment s'en rendre compte que je peux bien lui apporter un chocolat chaud qu'il aime vraiment, sans se forcer.

J'ai demandé à Steven où il prenait le sien quand il lui en demandait un et m'a dit qu'il y avait un café juste à côter de leurs lieu de travail, parfait.

Je me prépare en vitesse et sort de mon appartement toute excitée à l'idée de lui faire une sorte de "surprise" même si c'est plutôt censé être normal.

Disons qu'avec moi ça ne l'ai pas vu tout ce qu'il s'est forcé à manger ou boire de mauvais, le pauvre.

Je me gare devant la maison de disque et trouve facilement le café à côter.
J'achète son chocolat chaud qui est un peu plus cher que celui que j'achète dans le café près de chez moi, mais tant pis.

Si c'est pour lui faire plaisir ça ne me dérange pas du tout.

Je monte ensuite jusqu'à son bureau, le plus vite possible pour qu'il soit toujours bien chaud, je veux vraiment qu'il soit parfait.
Après avoir toquée, j'entre, et le trouve assis derrière son bureau, soufflant du nez et se massant les tempes.

En entendant du bruit, il relève la tête sur un visage glacial, jusqu'à ce qu'il ne semble remarquer que c'est moi, là, sont visage se détend instantanément et un sourire s'y affiche.

- « Coucou. » Lui sourié-je timidement.

- « Coucou, mon ange. » Il dit pendant que je me place à ses côtés en passant un bras autour de son épaule et déposant un baiser sur sa joue.
Ça n'a pas l'air de lui suffir puisqu'il attrape mes hanches et me porte pour m'assoir sur lui avant de m'embrasser passionnément.

Si je n'étais pas assise sur lui je crois que je ne tiendrais plus debout sous l'intensité de ce baiser.

Je fais quand même attention à son chocolat chaud qui se trouve toujours dans ma main même si c'est vraiment compliqué quand il m'embrasse, tout mon cerveau se vide, j'ai pourrais presque en oublier mon prénom.

À bout de souffle, nous sommes obligé de séparer nos lèvres, restant enlacé dans les bras de l'autre.

- « Ça va ? » Je lui demande, il avait vraiment l'air énervé.

- « Oui ça va, c'est juste l'agencement de mes nouveaux studios qui me prend la tête.. » Soupire-t-il.

- « Heureusement que je t'ai apportée un chocolat chaud alors.. » Sourié-je fièrement en lui tendant le gobelet.

Nous Deux, Ou RienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant