Ayla Sparks une simple serveuse fauchée de 22 ans va aidée sa meilleure amie à organiser l'événement qui va changer sa vie en entrant dans un monde de richesse qui lui est inconnu.
Mais cette dernière ne sait pas que cette soirée ne va pas être béné...
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J'ENTRE DANS LA GRANDE salle où à lieu cette fameuse soirée, je ne sais même pas si ça en est vraiment une puisque c'est simplement pour faire connaître certains restaurants. Je soupire déjà d'agacement, ça va être ennuyant.
En plus de ça, j'ai croisé un de ces types insupportable qui colle parfaitement au clichés du riche égocentrique, il m'a même bousculé pour entrer. Nous n'avons jamais fait affaire ensemble, lui voulait, mais pas moi, ce qui fait que maintenant il est des plus désagréable avec moi, me donnant très envie de lui en foutre une, mais bon, l'image avant tout, comme dirait mes "parents".
Je ne voulais même pas venir ici, j'ai été appelé à la dernière minute par mon assistant qui m'a dit que je devais y faire acte de présence. Je n'ai pas compris pourquoi, à part pour l'image, puisque mon travail n'a rien avoir avec tout ces restaurants mais comme ma sœur n'est pas là ce soir puisqu'il y a apparemment des invités chez eux, les parents ne veulent pas la laisser venir dormir chez moi pour ce soir, j'ai alors décidé de venir y faire un tour. Si c'est barbant je n'aurais qu'à partir, au moins on m'y aura vu, c'est le principal.
À peine suis-je entré, qu'un couple que je connais bien m'interpelle.
- « Damian ! » S'exclame Joyce, toujours souriante avec Harvey à ses côtés.
Ce sont de bon amis à mes parents, enfin- ils ne sont pas vraiment amis vu la façon ignoble dont mes parents parlent d'eux dans leurs dos alors qu'ils sont adorables. Ces deux là on été plus présent dans ma vie que mes parents, quand j'ai déménagé tout seul, ils m'ont aidé à m'installer et avaient l'air vraiment fier de moi de me voir prendre mon envol, comme mes parents ne l'ont jamais été.
Ils étaient d'autant plus fier de moi en me voyant gravir les échelons seul jusqu'à devenir directeur, sans l'aide de mes parents, seul.
Ma plus grande fierté.
- « Comment ça va, mon grand ? » Sourit Harvey en me donnant une tape amicale sur l'épaule.
- « Ça va, et vous ? »
- « Très bien ! Tu es revenu avec ta charmante cavalière ? Elle est divine ! » S'exclame Joyce.
- « Et non, pas ce soir, j'ai été invité au dernier moment. »
C'est vrai que j'aurais aimé qu'elle soit là, la soirée n'aurait pas été aussi ennuyeuse et peut-être que j'aurais pu la convaincre de me donner un baiser. J'en meurs d'envie putain, à chaques fois que je la vois ma seule envie est de la serrer contre moi et m'emparer de ses lèvres qui semblent m'appeler. Je suis certain qu'elle ne se rend même pas compte à quel point elle me rend fou.
