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𝑪𝑯𝑨𝑷𝑰𝑻𝑹𝑬 41
𝓣𝓸𝓾𝓳𝓸𝓾𝓻𝓼 𝓵𝓪JE SENS SES PETITS BRAS me serrer encore plus contre elle après mon aveux.
Je ne sais pas pourquoi j'ai dis ça, elle va me poser encore pleins de questions alors que je n'ai aucunes envie de parler de ça.. j'ai trop honte.
Ce connard a eu le culot de venir à l'improviste chez moi pour me reprocher de liguer Kathlyn contre eux, ce que je n'ai pas eu besoin de faire puisqu'ils le font déjà très bien tout seul, sans mon aide.
Et qu'est-ce que ça peut bien lui faire ? Ils ne s'occupent même pas d'elle. Depuis qu'elle est née, comme pour moi, ils s'en foutent pas mal de ce qu'elle ressent ou même d'elle tout court.
Ils m'énervent tellement bordel ! J'en peux plus, je rêverais de couper les ponts une bonne fois pour toute avec eux, je sais que je serais tellement plus heureux et épanoui ainsi mais je ne peux pas laisser Kathlyn seule avec eux.
Hors de question qu'elle se sente seule et misérable comme je me suis sentis seul à cause d'eux.
J'en ai tellement souffert.. je ne veux pas que ma petite sœur en souffre aussi, même si je suis certain qu'elle souffre quand même.. j'ai beau être là pour elle, ils existeront toujours.Mais comment je peux lui dire ça, que je souffrais parce que j'essayais par tout les moyens de me faire aimer par mes parents ? C'est tellement honteux..
Et en plus de ça, elle a vécu pire, les siens l'ont lâchement abandonné, elle a autant souffert que moi, je ne peux pas me plaindre, ce serait trop égoïste..
Déjà que c'est ce qu'elle pense des riches en général, qu'ils sont égoïste, je ne veux pas qu'elle pense ça de moi.Je relève la tête et plante mon regard dans le sien, essayant du mieux que je peux de me calmer.
Mais ça ne marche pas évidemment, la colère ne s'évapore pas comme ça.. j'ai besoin de plus.
J'écrase brusquement mes lèvres sur les siennes, je sens ma tête tourner, et surtout, ma colère diminuer.
Putain un simple baiser me calme au lieu de redescendre pendant une heure.Un petit gémissements s'échappe de ses lèvres quand nos langues se rencontre, me faisant moi-même lâcher un soupir.
Je la colle aussi prêt que possible de moi, j'ai besoin d'elle..J'aime le bien-être qu'elle me procure en un simple contact.
À bout de souffle, on s'écarte finalement, je la maintien toujours contre moi, en la regardant et sans qu'elle ne s'en rende compte, elle réussi à m'arracher un petit sourire..
Ses joues toutes rouges, sa respirations courte et son regard troublé suffisent à me calmer.
Elle est tellement mignonne bordel.- « Tu veux en parler.. ? » Demande-t-elle d'une petite voix.
Je soupire de frustration, je ne peux pas lui dire, c'est trop dur pour moi.. et très humiliant.
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Nous Deux, Ou Rien
RomanceAyla Sparks une simple serveuse fauchée de 22 ans va aidée sa meilleure amie à organiser l'événement qui va changer sa vie en entrant dans un monde de richesse qui lui est inconnu. Mais cette dernière ne sait pas que cette soirée ne va pas être béné...