𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐗𝐗𝐗𝐈𝐈

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—    L  A    R  A  G  E   D  E  S    —
D     A     M     N     É     S

—    L  A    R  A  G  E   D  E  S    —D     A     M     N     É     S

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             LE SILENCE EST ABSOLU. Presque reposant.

             Les mains de Toji sont posées sur mes joues, fermes. Les miennes les pressent par-dessus et je ferme les yeux. Je peux le faire. Nous deux le savons. Il m’a poussée à m’assoir au fond de cette piscine car il sait que je suis capable de surmonter mes peurs.

             Même si le visage de Geto hante encore mes nuits. Lui, habillé de sa chemise impeccable tandis que je souffrais et me débattais, parlant doucement pendant que l’envie d’hurler de douleur me prenait mais était étouffée par la noyade. La sensation que mes yeux allaient sortir de leurs orbites tant l’air se comprimait dans ma tête.

             Mon corps est devenu son engin de torture. Il me faisait mal. Me suppliait d’exploser et me tuer sur le coup pour mettre fin à la douleur. Chaque veine ressortait.

             Mes yeux s’écarquillent soudain. Le clore me brûle les yeux. Je réalise pleinement ce qu’il se passe. L’eau. Elle est partout autour de moi. Elle est là. Omniprésente. De l’air. Il me faut de l’air. Respirer. Vite. De l’air.

             Prise de panique, je bats violemment des mains, tentant de me redresser sur mes jambes. Mais mon pied glisse et je tombe plus profondément encore dans l’eau. Je frappe autour de moi, tentant de nager jusqu’à la surface.

             Soudain, deux mains fortes se posent sur mes hanches et me tirent vers me haut. La fraicheur de l’air fouette mon visage et je prends une profonde inspiration, des larmes roulant sur mon visage. Vite. Je dois sortir. Vite.

𝐋𝐀 𝐑𝐀𝐆𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐃𝐀𝐌𝐍𝐄𝐒 (toji x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant