7

896 110 20
                                    

Emir leurs demanda de les rejoindre dans le petit salon. Quand Oleya entra dans la salle, elle s’avança et s’arrêta en face d’une grande table. Amal et Dora arrivèrent et s’arrêtèrent également devant cette table. Il y avait trois pots de fleur et une petite enveloppe posée à coté.
Personne ne comprenait ce que cela voulait dire.

Emir : Mesdemoiselles, comme vous pouvez le voir. Il y a trois pots de fleur, l’enveloppe qui est à coté du pot de fleurs sont des graines. Vous devez faire grandir cette graine.

Dora : C’est une plaisanterie j’espère.

Emir : Absolument pas.

Amal: Je ne suis pas ici pour cela.

Emir : C’est une tradition qui date de plusieurs années. La seule personne à pouvoir rectifier ou annuler cette tradition est le roi.

Il avait la voix plus sec. Elles devaient l’agacer c’était certain.

Emir : Vous ne pouvez demander d’aide à personne. C’est à vous et à vous seul de faire grandir la graine et la transformer en fleur.

Oleya s’approcha du pot intriguée. Il y avait de la terre à l’intérieur. Amal et Dora s’approchèrent et prirent l’enveloppe ainsi que le pot nerveusement.
Elle partirent toutes les deux et Oleya regardait toujours le pot. Elle le souleva légèrement mais elle savait qu’elle le ferait tomber.
Elle paressait anxieuse, Emir s’approcha.

Emir : Vous allez bien ?

Oleya : Oui, enfin… serait-il possible que vous m’aidiez à mettre le pot à l’extérieur. J’ai trop peur de lâcher et qu’il se casse.

Il avait presque de la peine pour elle et il accepta. Une fois que les trois pots furent côte à côte. Elle le remercia. Chaque pots portaient le nom des favorites. Oleya n’avait jamais jardiner, elle n’avait jamais fait d’activités qui lui demandé de la précision et de la force dans les mains.
Ça sera compliqué, pensa-t-elle. Elle se souvint soudainement qu’elles devaient allées faire les boutique. Elle trouvera bien une librairie en ville. Elle pourra, alors, prendre un livre sur les plantes. Elle glissa la petite enveloppe dans sa poche.
Le trajet pour aller en ville avaient été compliqué. Amal et Dora se disputaient pour savoir qui avait passer le plus de temps avec le roi. Oleya trouvait cela ridicule. Elle regarda Sarah qui était venue. Elle avait également l’air d’être agacer par les deux femmes. Elles se mirent à sourire et se comprenaient.
Dora et Amal en étaient à leurs quatrièmes essayages. Mais Oleya, elle n’avait rien essayé. Sarah s’approcha d’elle.

Sarah : Rien ne vous plaît ici ?
Oleya la regarda.

Oleya : Sincèrement ça n’ai pas vraiment mon style. Les paillettes, les couleurs. On peut presque faire une crise d’épilepsie dans ce magasin.

Sarah se mit à rire et Oleya la rejoint. Elles rigolaient pendant que les autres pillaient le magasin.

Sarah : Il doit bien avoir une boutique qui vous tente.

Oleya : À vrai dire, je souhaite trouver une librairie. J’ai besoin d’acheter un livre.

Sarah : Et pour la réception qu’allez-vous porter ?

Oleya : Et bien, je n’ai jamais assisté à ce genre de réception. Je pensait mettre un costard.

Elle écarquilla les yeux.

Oleya : Vous pensez que ce n’est pas
une bonne idée ?

Sarah : Et bien disons plutôt que c’est original. Mais il vous faut être à l’aise. Et si porter cette tenue vous
met bien, alors portez la.

Oleya lui sourit, elle aimait beaucoup Sarah.
Après des heures de shopping, elle trouva enfin une librairie. Amal et Dora restèrent dans la voiture. Pendant que Sarah et Oleya entrèrent dans le magasin. Elle réussit à trouver le livre et au moment où elle sortit son porte monnaie de sa poche. Sarah intervint.

Sarah : Attendez, ce n’est pas à vous de régler cette dépense.

Oleya : Pourquoi cela ?

Sarah : Vous êtes une favorite. Vous avez le droit à une carte de crédit à débit illimité.

Oleya : C’est une plaisanterie ?

Sarah : Non c’est un avantage.

Oleya était mal à l’aise.

Oleya : Je suis navrée , mais je ne peux accepter. Cela me met mal à l’aise.

Les 3 Graines De Vérités Où les histoires vivent. Découvrez maintenant