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Sarah avait pour but de la surveiller et la protéger. Mais elle ne pouvoir aller voir le roi et lui en parler. L’incident de la veuille avait créer des peurs dans le villages. La plupart des gens faisaient circuler des rumeurs d’attentat. Il devait se concentrer sur cette mâtinée et montrer que tout allait bien dans le royaume. Elle s’occuperait d’Oleya.
Une fois prête, elle sortit de sa chambre, Sarah était proche d’elle au cas où elle tomberait. Elle boitait légèrement et chaque pas était une torture. Elle serrait la mâchoire. Quand ils arrivèrent dans le jardin, tout le monde était déjà là. Des journalistes, des photographes qui prenaient des photos du roi, des favorites. Qui comme de coutume posaient comme des mannequins. Le roi la vit de loin et lui fit signe de s’approcher. Sarah l’accompagna, il ne comprit pas pourquoi Amal et Dora partirent pour laisser Oleya faire la photo avec le roi. Il mit sa main dans le bas de son dos. Il lui murmura :

Malik : Mettez votre main sur mon torse.

Elle le fit en silence avec un sourire. Il portait une chemise à manches courtes et elle put voir son bras droit bandé. Ça lui pinça le cœur.
Une fois la photo prise, elle rejoignit Sarah. Le roi sentit que quelque chose n’allait pas. Mais il devait faire bonne figure. Ils parlaient avec les journalistes ; souriait et monterait qu’il allait bien. Mais il ne pouvait s’empêcher de regarder de temps à autre la jolie Oleya qui paraissait mal en point. Il voulait lui parler seul à seul. Il savait qu’elle s’en voulait et il ne le fallait pas. Il devait d’abord mettre de l’ordre dans le royaume et il s’occuperait d’elle après.
Soudainement, il vit au loin son médecin.
Que faisait-il ici ? Il n’avait pas été appeller ?
Il s’approcha de lui.

Dr Lovze : Bonjour Votre Altesse ?

Malik : Bonjour que faites-vous ici ?

Dr Lovze : Et bien, j’ai été demandé par votre gouvernante.

Le roi dirigea son regard vers Sarah, elle était proche de Oleya qui était assise sur une chaise.
Il l’observa un moment. Elle n’allait pas bien mais elle faisait contenance. À un moment, il vit Oleya se levait difficilement aidé par Sarah. C’est à ce moment là, qu’il demanda aux journalistes de quitter le palais. Il se dirigea vers Sarah et Oleya qui était dans le couloir.

Malik : Oleya ?   

Elle se retourna pour le regarder. Il vit quelques gouttes de sueurs perlaient sur son front, ses yeux rougies.

Malik : Vous allez bien ?

Oleya : Pas vraiment non.

Le médecin les rejoint.

Sarah : Il faut ausculter sa jambe.

À ce moment là, Oleya perdit connaissance, Malik la prit dans ses bras et l’emmena dans sa suite. Il la déposa sur son lit, plus inquièt que jamais. Le docteur Lovze posa des questions à Sarah.

Dr lovze : Que s’est-il passé ?

Sarah : Et bien, je n’en sais rien, elle ne m’a rien expliqué. Je sais seulement qu’elle a une entaille à la jambe droite.

Malik : Une entaille ?

Le médecin leva sa robe jusqu’aux genoux. Ils furent horrifié de l’état de sa jambe. Elle était enflée, rouge et la plaie était assez impressionnante. Elle n’était pas profonde mais assez grande.
Le médecin fit ce qu’il devait, sous le regard inquiet de Malik.

Malik : Sarah, pourquoi ne pas être venu me voir ?

Sarah : Elle se sentait responsable de votre blessure et savait qu’il faillait être présent pour les journalises. Je serais venue vous voir après.

Malik était très inquiet. Sarah le regarda un moment.

Sarah : Vous l’aimez beaucoup n’est-ce pas ?

Il lui sourit.

Malik : Tu sais comment je suis.

Elle lui toucha la joue.

Sarah : Je vous ai presque élevé.

Le médecin lui désinfecta la jambe, lui mit un traitement antidouleur par intraveineuse. Et une couverture antibiotique. Malik resterait avec elle. Sarah quitta la pièce et prévenu les conseillés que le roi ne serait pas disponible pendant un certain temps.
Il s’assit à coté d’elle, et se permit de lui caresser la main. Elle ne pouvait la retirer cette fois.
Elle avait l’air si fatiguée. Il s’en voulu de ne pas avoir fait attention à elle. Après leurs chutes, tout c’est passer si vite qu’il n’avait même pas eu le temps de la revoir. Entre sa blessure et la presse, les choses s’était accéléré.

Les 3 Graines De Vérités Où les histoires vivent. Découvrez maintenant