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Elle regarda de nouveau sa bague. Elle n’arrivait pas à croire que cela puisse être possible. Elle se mariait avec lui. Elle l’aimait tellement qu’elle n’aurait pu rêver mieux. Elle n’avait jamais vu cette bibliothécaire, en ignorer même l’existence. Mais maintenant qu’elle l’avait découvert, elle y passerait de long moment.
Le mariage avait était spectaculaire. Beaucoup de monde avait été conviés et tout s’était déroulé parfaitement. Oleya était aux angex et sa tante également. Elle n’aurait pu rêver mieux pour sa nièce. Quant au roi, il n’avait d'yeux que pour elle. Sa robe blanche lui allait à ravir. Une robe long sirène qui dessinée son corps harmonieux. Il avait hâte qu’elle soit toute à lui. Malik la regardait, il pouvait la sentir nerveuse. Il s’approcha d’elle et lui caressa la joue.

Malik : Tu vas bien ?

Oleya : Oui et toi ?

Il lui fit un bisou sur le front.

Malik : Comment pourrait-il en être autrement. Tu es ma femme maintenant.

Elle sourit et rougit en même temps.

Malik : Je vais prendre ma douche.

Oleya : Très bien.

Il enleva sa cravate et la lança sur la chaise, tout en se dirigeant dans la salle de bain, il déboutonna sa chemise. Elle était très stressée, quand il ferma la porte de la salle de bain. Elle s’assit sur le lit et se mit à respirer difficilement, elle avait des bouffées de chaleur. Il faillait qu’elle se calme. Elle devait arrêter d’angoisser de cette façon. Elle l’aimait, tout irait bien. Elle avait beau ce le dire, malheureusement pour elle, elle n’arrivait pas à se calmer. Elle ne savait pas comment elle devait faire. Quand Malik sortit de la salle de bain, il vit sa femme la tête entre les jambes. Il eut peur et se précipita vers elle. De ses mains, il prit son visage en coupe.

Malik : Chérie qu’est-ce qu’il y a ? Tu te sens mal.

Oleya : Non je vais bien.

Il la regarda, elle avait les mains tremblantes et elle était pale.

Malik : Tu n’as pas l’air. Dis-moi ce qu’il y a ?

Elle ferma les yeux quelque seconde.

Oleya : Ce n’est rien.

Elle se rendit compte qu’il avait une serviette autour de la taille. Il était torse nu et probablement, ne portait rien sous sa serviette. Quand il remarqua son regard, il vit qu’elle tremblait de plus belle et il comprit. Il l’aida à se lever.

Malik : Chérie regarde-moi.

Oleya le fit.

Malik : Nous ne sommes pas dans l’obligation d’avoir des rapports physiques ce soir.

Elle le regarda surprise.

Oleya : Vraiment ?

Malik : Bien sur ! Je veux que tu sois bien et que tu en es envie.

Oleya : J’en ai envie mais… Je suis…

Malik : Mal à l’aise je sais.

Il lui sourit.

Malik : Je te connais et je t’aime pour ce que tu es.

Oleya : Tu ne m’en veux pas ?

Malik : D’être toi ? Jamais ! Je suis amoureux de toi pour ta personnalité et ta façon d’être. Attendre ne me dérange pas.

Il l’embrassa. Elle était soulagé d’avoir un si bon mari. Il était parfait et elle l’aimait tant. Ils dormirent ensembles, dans les bras l’un de l’autre.
Malik attendrait le temps qu’il faudra pour elle. Même si son coté masculin la réclamait avec ardeur, il ne voulait pas la traumatiser.

Les 3 Graines De Vérités Où les histoires vivent. Découvrez maintenant