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Un chapitre en plus pour mes saucisses de dinde adoré 💜



Malik : Oleya ?

Elle releva son visage et se leva pour partir, mais il la prit par le bras pour lui faire face.

Malik : Dites-moi ce qu’il y a.

Oleya : Rien ! Je veux rentrer chez moi !

Malik : Non, pourquoi ?

Elle enleva son bras violemment.

Oleya : Premièrement, je ne suis pas capable de faire pousser cette satané plante contrairement à vos favorites ! Ensuite vous me vouvoyez contrairement aux autres. Je suis là seulement par ce que j’ai un milieux sociale différent des autres. Je suis là pour faire rêver les pauvres comme moi.

Il fut choqué.

Malik : Non …

Oleya : Si ! Vous avez une tradition qui date et vous pouvez la changer vous êtes roi non ? Vous gardez Amal et Dora qui sont odieuses et moi je suis au milieu. Je ne veux pas être au milieu ! Jamais vous ne me choisirez. Je suis et resterais pauvre ! Je veux être chez moi ! Je suis désolée.

Il ne l’avait jamais vu comme ça. Elle semblait brisé.
Oleya partit dans sa chambre, elle fit ses bagages toute en sanglotant. Certes, elle l’aimait, mais son cœur ne pouvait supporter plus. C’était déjà épuisant de l’imaginer avec une autre mais deux, c’était bien plus que ce que son cœur ne pouvait supporter. Et puis, pourquoi il la vouvoyez encore ?
Elle descendit avec ses bagages. Elle vit un garde du corps et lui demanda dans quelle voiture elle pouvait monter. Il lui indiqua une voiture noire. Or, il n’y avait que cela ; des voitures noires.
Elle en prit une au hasard, elle mit ses bagages dans le coffre et s’assit à l’intérieur du véhicule. Une larme roula le long de sa joue. Soudainement la porte passagère à ses cotés s’ouvrit et elle vit entrer un homme.

Oleya : Votre Altesse ?

Elle le regarda quelques secondes puis détacha sa ceinture. 

Oleya : Veuillez m’excusez, j’ai du me tromper de voiture.

Il lui remit sa ceinture.

Malik : Nous pouvons partager un trajet ensemble non ?

Comme si elle pouvait dire non. Elle acquiesça.
Le trajet fut très silencieux. Elle savait que les yeux du roi étaient posé sur elle. La voiture s’arrêta et le roi sortit, il contourna la voiture et lui ouvrit la portière, il l’aida à sortir de la voiture. Elle fut étonné.

Oleya : Où sommes-nous ?

Malik : Venez.

Il lui prit la main et qu’elle le veuille ou non elle le suivit. Ils montèrent tous les deux dans un jet privé. C’était la première fois qu’elle voyait cela. Et c’était exactement comme elle se l’était imaginé, très claire, des sièges en cuire, une hôtesse de l’air très souriante.

Malik : Asseyez-vous.

Elle le regarda, elle était suspicieuse.

Malik : S’il vous plaît.

Elle inspira puis le fit.

Oleya : Dites-moi, ce que faisons-nous ici ?

Malik : Je ne supportais pas l’idée que vous partiez de cette façon.

Oleya : Alors vous m’emmenez dans votre jet ?

Malik sourit.

Malik : Je souhaitais passer quelques jours avec vous loin de tout. Pour vous parler.

Oleya : Nous aurions pu parler dans la voiture.

Malik ne dit rien il regarda le hublot.

Oleya : Où allons-nous ?

Malik : En Angleterre.

Elle écarquilla les yeux.

Oleya : Vous êtes sérieux ?

Malik : Vous ne pourrez vous échapper .

Elle était à la fois surprise et heureuse. Elle vit un journal sur le siège à côté du sien. Elle le prit et regarda la une. Elle se mit à sourire. Malik leva un sourcil.

Malik : Qu’avez-vous ?

Elle lui montra le journal. Il y avait une photo de chez elle avec un gros titre.

« L’ancienne maison de la pauvre favorite. »

Elle le lança sur la table et regarda le hublot.

Oleya : Avant, nous avions des volets bleus. Mais, le vent les a décrochés, donc nous avons fixé des planches de bois.

Cela lui fit de la peine, il prit le journal et le déchira. Elle ne l’avait même pas regardé faire. À quoi cela servait. Il était en colère contre tout, les journalistes, les favorites, ses conseillés. Il ne voulait pas qu’elle est de la peine.
Elle s’endormit et il l’observa. Elle n’avait pas l’air apaisé. Ça lui faisait du mal. Mais quelques jours avec elle en Angleterre l’aiderait. Il lui montrerait que la seule chose importante c’était eux et les sentiments qu’il avait pour elle. Oleya se réveilla plusieurs heures sans savoir où elle était. Elle était allongée sur un lit. Elle se leva, et frotta ses yeux. Elle ouvrit la porte et avança dans un salon. Elle regarda à droite et à gauche mais personne n’était là. Mais où était le roi. Elle ouvrit la porte d’entrée et sortit dans un couloir, c’était un hôtel. Elle entendit soudainement un homme derrière elle l’interpellait. Elle se retourna, c’était un garde du corps.

Les 3 Graines De Vérités Où les histoires vivent. Découvrez maintenant