Jude Kebena's pov.
Lrs cris retentissent dans mes oreilles, je m'étire lentement, essayant d'atténuer la colère qui s'immiscait de nouveau en moi. C'est comme si, elle avait eu un déclic, et depuis, elle était resté constamment.
Je ne m'habille maintenant, il est encore trop tôt. Je coiffe simplement mes cheveux dans un chignon mal fait, et je descends les escaliers.
À mesure d'arriver, les cris s'intensifiaient et me créaient un horrible mal de tête. J'étais à cran, et ma mère appuyait davantage sur mes ners à la force de ses plaintes.
Je ne la salue pas quand je rentre dans la cuisine, je m'installe simplement à ma place, et saisit ma tête entre mes mains. Ma migraine était déjà assez horrible, pourtant, ma mère décidait d'en rajouter une couche.
Quand j'en ai eu marre de l'entendre râler, j'ai fais tapé mon couvert contre la table, créant un énorme tremblement sur cette dernière, au point de faire tomber quelques gouttes de jus de fruit sur le bois de la table.
Au lieu d'apaiser la tension dans la maison, j'avais rallumé une flamme encore plus violente. Mon assiette n'atterrit pas sur la table, à sa place habituelle.
Elle s'écrase contre le sol, dans un bruit sourd. Je ferme les yeux un instant, et quand je les ouvres, ma mère est devant moi, de la fumée sort presque de ses oreilles.
Elle tient une cuillère en bois dans sa main, cette dernière menace de se briser sous l'emprise de ma mère. Attiré par le bruit, mon père décide de rentrer à ce moment-là.
Ma mère me tenant fermement par le poignet, mon père essaie de l'empêcher de faire quoique soit, mais elle le repousse agressivement.
Elle me traîne par la main, me laissant marcher pieds nus dans les débris de l'assiette jetée au sol, je me crispe quand je sens les bouts craquer sous mes pieds et s'encrer profondément dans mon corps.
Mais ça n'empêche pas ma mère de me ramener jusqu'à la salle de bain. Quand je tombe face à face avec celle-ci, c'est comme si je réalisais qu'il ne s'agissait pas de ma salle de bain, mais bien d'une salle de regret, qui nous force à regretter nos actions.
Les conséquences sont horrible, je suis jeté dans la baignoire, je m'entrechoque contre la paroi de celle-ci mais je ne gémis pas pour autant. Ça ne servirait à rien de me débattre.
Alors je subis, une fois de plus, l'eau gelée me mouiller, avant d'être brûlée. Mes pieds me brûlent énormément, et dans même pas une heure, je vais devoir marcher jusqu'à atteindre l'arrêt de bus.
Après m'avoir laissé une bonne demi-heure sous la variation de l'eau qu'elle s'amusait à créer, ma mère ne prononce pas un mot. Elle arrête l'eau, et j'en déduis que c'est enfin fini.
Sauf que lorsque je me relève, elle se penche à mon oreille, tout en tenant fortement mes épaules.
"Ça ne fait que commencer, Jude." Me Murmurait-elle.
---
Pov's AceLa nuit s'installait de plus en plus tôt, ça devait rendre Jude contente, de pouvoir observer le soleil se coucher tout en rentrant chez elle.
Je me tiens debout, ecarté de la foule qui se contentait d'avancer dans un seul chemin, avant de se séparer de plusieurs façons. J'avais peur de ne pas la trouver parmis la multitude d'élèves qui sortaient à cette heure.
Pourtant, en apercevant le bout de sa couette, et sa chemise retroussée, mon coeur rattait un battement. C'est bien elle.
J'essaie de m'approcher d'elle, alors je me mêle à la foule, pourtant, je vais de l'autre sens que cette dernière. Puis j'arrive enfin devant elle.
VOUS LISEZ
𝐍𝐲𝐜𝐭𝐨𝐩𝐡𝐢𝐥𝐢𝐚
Rastgele𝘕𝘺𝘤𝘵𝘰𝘱𝘩𝘪𝘭𝘪𝘢 : 𝘓𝘰𝘷𝘦 𝘰𝘧 𝘥𝘢𝘳𝘬𝘯𝘦𝘴𝘴 𝘰𝘳 𝘯𝘪𝘨𝘩𝘵. 𝘍𝘪𝘯𝘥𝘪𝘯𝘨 𝘳𝘦𝘭𝘢𝘹𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘰𝘳 𝘤𝘰𝘮𝘧𝘰𝘳𝘵 𝘪𝘯 𝘵𝘩𝘦 𝘥𝘢𝘳𝘬𝘯𝘦𝘴𝘴. "J'étais malheureuse, je plongeais dans un vide immense, mais la lune et ses étoiles étaie...