Nuée ardente

Le Prof de Sport - Partie 6

En regardant Max, elle sut que son plaisir n'était pas sur le point de s'achever. Le prof de sport se laissa tomber sur un banc et Julie manqua de glisser contre le mur. Ses jambes flageolaient et sa peau semblait être parcourue par une sorte d'électricité jouissive.

Le second homme l'attrapa par la taille, il l'embrassa avec langueur, désir et il effleura ses hanches nues, son ventre contracté par l'anticipation de cette deuxième partie de sexe. Max était plus doux, que ce soit dans ses baisers ou ses caresses. Il survola ses tétons durs du bout de ses doigts chaud, embrassa son cou légèrement humide à cause de la chaleur qui dansait en son sein. Ses lèvres se déplacèrent vers sa mâchoire, son menton, ses joues de la couleur d'un brasier.

Il attrapa ses fesses à pleine main, les palpa, effectua une série de caresses aussi délicieuse que ses baisers. Puis, Max la souleva et se dirigea vers les douches. Julie fille toucha son dos trapu, sa nuque tendue par le désir, ses pectoraux. Il la posa tendrement contre le mur trempé.

Julie le dévora du regard, il se recula un peu, la laissant jouer avec son corps. Les doigts délicats de la demoiselle gravirent le corps du jeune homme, les petites collines de ses muscles, puis redescendirent. Elles s'attardèrent juste au-dessus de son sexe bandé comme un arc.

La blonde glissa ses mains autour du cou de Max et l'attira à elle. Ses lèvres mourraient de désir pour lui. Ils s'embrassèrent pendant de longs instants, caresses et peau contre peau faisant monter encore plus la température.

La demoiselle poussa un gémissement quand il effleura ses seins. Elle s'arcbouta pour se coller contre le bassin de son second partenaire, la mine fiévreuse et la bouche légèrement entre-ouverte. Il malaxa sa poitrine avec un mélange de douceur et d'ardeur, de retenue et de lâché prise, comme s'il tentait de juguler ce qui menaçait d'exploser en lui.

Julie laissa un son lascif sortir de sa gorge tandis qu'elle provoquait l'homme du regard.

Le liquide coula sur sa peau, d'abord froid, ce qui lui tira un glapissement surpris, puis aussi chaud que le sang bouillant qui pulsait dans ses veines. Max se colla contre elle, l'eau ruisselant délicieusement contre son torse musclé. Puis, à son tour, il écarta les jambes de la demoiselle.

Il frotta son gland contre le sexe de Julie, entra de quelques centimètres avant de se retirer et de reprendre les frictions. Julie poussa un sourire de bonheur. Il ne la quitta pas un seul instant des yeux. Max guida sa bite contre le bas ventre de la jeune femme et enroula ses bras puissants. À son tour, il la souleva, la plaqua document contre le mur et l'embrassa à lui en faire perdre la tête. Son gémissement à lui avait quelque chose de chaud, excitant et doux.

Il la pénétra, centimètre par centimètre, lui laissant le temps d'apprécier le contact de sa queue caressant l'intérieur de son être.

Julie s'agrippa encore plus à son dos, sans parvenir à maîtriser les éclats de voix qui sortaient de sa gorge.

Max l'embrassa, leurs deux langues s'entremêlant délicieusement entre deux soupirs. L'homme lui fit l'amour avec douceur, langueur et volupté. Ces gestes étaient empreints de désir, mais ils n'étaient aucunement violents.

La demoiselle avait l'impression d'être une reine, aussi précieuse que désirée.

Le membre de son deuxième partenaire lui provoquait tant de plaisir qu'elle sentait ses jambes trembler. Il la maintenait afin qu'elle ne tombe pas, ses mains puissantes enserrant ses cuisses. Leurs deux respirations courtes et saccadées étaient mêlées à des soupirs de luxure. Max était tellement grand et musclé qu'il l'enveloppait de son corps tant robuste que rassurant. Il poursuivit sa danse sensuelle plusieurs minutes tout en caressant sa peau qui était aussi bouillante que le magma. Son partenaire se retira et elle le regarda d'un air étonné. Il n'avait pas fini son affaire et elle non plus.