Irène ouvrit grand les yeux, non pas choquée par le geste, mais choquée par la réaction que cela provoqua en elle. Son ventre se contorsionna, son cœur accéléra... Jules était son meilleur ami. Comment pouvait-elle ressentir ce genre de choses ?
Quand il l'embrassa de nouveau, aussi doucement et délicatement, elle s'agrippa à son teeshirt.
Lui qui était si gêné d'habitude, il semblait tellement confiant...
Le blond pressa ses lèvres contre les siennes, avec de plus en plus de désir, comme s'il cherchait à savoir jusqu'où il pouvait aller avant de se faire rejeter.
Mais Irène n'avait aucune envie qu'il s'arrête.
La demoiselle se fit de plus en plus gourmande. Elle se colla contre Jules, son corps moulé dans la robe se pressant contre celui musclé du jeune homme.
Les mains de son ami attrapèrent sa nuque, tentant de la rapprocher, comme s'il ne supportait plus cette distance pourtant déjà réduite.
Irène eut un frisson irrépressible quand il commença à caresser ses hanches et elle tira sur ses cheveux, comme pour répondre à son toucher.
La rousse mordilla les lèvres de son compagnon, lui arrachant un frémissement. Elle adorait le sentir réagir.
Elle se plaqua encore un peu plus contre lui, passant ses bras dans son dos. Elle explora ce qui se trouvait sous son teeshirt tandis qu'il remontait ses mains vers ses épaules, laissant derrière lui un sillage de chaleur et de désir.
Sans plus attendre, la demoiselle lui retira son haut, se surprenant elle-même de sa propre audace et rapidité. Elle caressa avidement sa peau nue, son torse parfaitement sculpté, ses pectoraux, profitant de chacun de ses muscles qui se tendaient à son passage.
Le blond poussa un gémissement rauque et la regarda comme si elle était la chose la plus précieuse au monde. Irène se mordit la lèvre inférieure, aucun mot ne sortant de sa fine bouche rosée.
Elle avait envie de lui, et il avait envie d'elle, elle le voyait désormais.
Jules dégagea la tignasse de la rousse et plongea son visage dans son délicat cou. Il l'embrassa, la faisant frissonner de plaisir, tout en explorant la peau dénudée de ses cuisses.
Irène murmura son nom d'une voix chargée de sensualité et elle sentit l'effet qu'elle produisait sur le blond, car il s'arrêta net avant de continuer de l'embrasser.
Il mordilla sa chair délicatement, puis avec plus d'ardeur, avant de l'aspirer entre ses deux lèvres. Un éclair parcourut sa colonne vertébrale, exquise sensation qui lui donnait envie de lui rendre la pareille. Elle voulait qu'il gémisse sous ses doigts.
Elle poussa un léger grognement quand Jules posa ses mains sur ses fesses, les caressant à travers sa robe devenue encombrante.
– Déshabille-moi, lui ordonna la jeune fille.
Le blond recula, comme s'il venait de se prendre une gifle. Ses pommettes se colorèrent de pourpre avant qu'il ne s'exécute. Il tira lentement sur le tissu, appréciant la peau bronzée qui se révélait peu à peu à lui.
Irène contempla le visage de son compagnon, qui observait son corps dans les moindres détails, comme s'il le découvrait pour la première fois. Il dévoilait chaque seconde une parcelle de sa poitrine, qu'il effleura du bout des doigts, puis son ventre plat et ponctué de grains de beauté.
Le vêtement tomba sur le sol, laissant Irène presque nue face à son meilleur ami.
De nouveau, elle se colla contre lui, sa poitrine pressée contre le torse de Jules. Il caressa sa peau douce sans gêne, comme si c'était naturel. Il parcourut ses cuisses, ses fesses, ses hanches et son dos, la faisant frémir de désir. Irène poussa un soupir proche du gémissement tandis qu'elle l'embrassait.
Le blond l'écarta légèrement pour pouvoir glisser sa main sur ses petits seins ronds.
Irène sentit son entrejambe la piquer alors qu'elle tentait de juguler sa voix qui menaçait d'éclater. Elle mordit sa lèvre inférieure tout en regardant Jules. Il malaxa sa poitrine avec vigueur et envie, comme s'il s'était retenu depuis toujours de la toucher. Il l'embrassa avec force, la surprenant presque et titilla son téton qui se mit à durcir en même temps qu'il s'acharnait à lui donner du plaisir.
La rousse laissa s'échapper un éclat de voix, sa chair torsadée par la flamme d'Éros. Elle s'accrocha au cou de Jules, pressa son bassin contre son membre raide et levé. Elle se frotta contre lui, caressa le bas de son ventre avant de s'attaquer à sa ceinture qu'elle dégrafa en un instant.
Le jean tomba sur le sol en même temps que le jeune homme se débarrassait de ses chaussures.
Le couple se rapprocha peu à peu du lit, Jules reculant avant qu'Irène ne le pousse quand il fut assez près du matelas.
Elle s'assit à califourchon sur lui et plongea vers son visage. Ses mains de son compagnon continuèrent de s'occuper de sa poitrine, tirant à la demoiselle de nombreux soupirs et gémissements entre deux baisers.
Irène embrassa la mâchoire du blond, mordillant sa peau chaude et sensible. Puis elle passa dans son cou tandis qu'elle caressait son torse musclé avec ferveur.
Elle avait tellement envie de lui.
La rousse recula légèrement afin de poser ses lèvres sur ses pectoraux, de les croquer et de les caresser.
Jules se mit à gémir en fermant les yeux. Ses muscles se contractèrent et Irène se fut submergée de plaisir.
Sa bouche descendit peu à peu vers son nombril, laissant derrière elle une ardeur grandissante chez Jules.
Le membre du blond était désormais complètement dur. Elle le sentait contre ses fesses, dressé et prêt à rentrer en elle.
Irène se rassit sur le ventre de son ami et secoua la tête pour chasser quelques mèches rebelles. Jules en profita pour s'emparer de ses petits seins, la faisant frémir. Il les titilla, les caressa, les pinça, s'attardant sur chaque parcelle de sa peau.
La rousse était chaude, remplie d'envie et de désir charnel. Son entrejambe était en feu et elle ne demandait qu'à être satisfaite.
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Nuée ardente
Cerita PendekDes nouvelles sexys, sans tabou, renversantes... Des nouvelles écrites pour vous, qui vous feront frissonner, rêver et qui vous maintiendront éveillés toute la nuit. Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez. Enjoy ! ♪