Mon regard se fige instantanément.
Hier, la soirée c'est très bien passée, Yacine est restée avec moi, on à manger en jouant à FIFA et je les déposer au collège ce matin.
Dans le plus grand respect, je me suis dit que je devais aller voir ma mère, parce qu'elle me manque, je voulais lui parler, une bonne fois pour toute, parce que j'ai pris conscience de bon nombre de point que j'aimerais éclaircir, mais a cette vue qu'elle m'offre, je me résigne a lui dire quoi que se soit.Elle est là, juste devant moi, celle qui auparavant, je considérer comme la femme de ma vie, et qui m'a donner l'être le plus précieux à mes yeux à l'heure actuelle.
Assise sur le canapé aux côtés de ma mère, sa chevelure lisse et brune, son visage mât aux joues rouges, arborant son plus beau sourire dans une tenue des plus basiques, elle m'attendais.
Un frisson de dégoût me parcours et ma mâchoire se contracte de haine. Je pose une main sur la chevelure de mon fils, et le place derrière moi, sentant ses mains aggripées l'une de mes jambes.
La haine me fait monter en pressions tendis que mon visage n'exprime que du dégoût.
Moi : moi qui pensait qu'on t'avais manquer pendant cette semaine d'absence, alors que, je regarde la principale concerné, tu élaborés je ne sais quoi avec elle
Mama : Ryad.. elle est revenu pour voir son fils
Moi : elle a pas de fils
La cause de cette situation se lève du canapé, et s'approche de moi avant de s'accroupir.
Sheila : tu dis pas bonjour, Ismaël ?
Je lâche un rire qui se veux moqueur. Qu'Allah me pardonne.
Moi : parce que tu as vraiment cru que j'allais lui laisser le même prénom avec lequel tu l'as abandonner ?
Elle se redresse, et se plante devant moi. Je ne l'a reconnais plus. Ce n'est plus celle que je voulais mariée, j'ai l'impression d'avoir à faire à une inconnu.
Sheila : je veux faire partie de sa vie, Ryad, tu ne peux pas le privé de sa mère
Moi : très bien, sa date de naissance
Sheila : q-quoi ? Ses yeux forment des billes.
Moi : tu as très bien entendu
Sheila : le 18 Mars 2020 ?
Moi : le 20 octobre 2020, et après tu veux te présenter en tant que mère ? T'inquiète, on a pas eu besoin de toi jusqu'ici et on aura pas besoin de toi par la suite
Je me retourne pour saisir mon fils que je cale contre moi, en lui chuchotant de se cacher contre ma nuque, ce qu'il fit en posant ses mains contre son visage en même temps. Je saisi la poignée de la porte d'entrée, et viens l'enclencher.
Sheila : j-je vais porter plainte !
Moi : tu sais pertinemment que tu gagneras pas
Je claque la porte derrière moi, et dévale les escaliers en maintenant le corps chaud d'Haydar contre moi.
Moi : moi qui pensais qu'on aller redevenir une famille, dis-je en parlant de ma mère ainsi que de mes sœurs.
J'ouvre la voiture, et attache Haydar dans son siège auto, avant de prendre place côté conducteur, et de rouler en direction du collège de mon frère. Moi, vivant, il retournera pas chez ma mère dans ses conditions. J'attend environ une trentaine de minutes, avant de le voir sortir, le sourire au lèvres entouré de ses copains. Je klaxonne, et comme instinctivement il dirige son regard vers la place habituelle sur laquelle je me gare lorsque je viens le chercher. Il tchèque ses potes, puis, me rejoint.

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| H A Y D A R |
FanfictionIl n'aura fallu que quelques heures à ces 6 lettres pour venir faire basculer sa vie... Instagram : @JournalDauteur