Chapitre 10

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|La jeune Sasaki soupira. Elle marchait actuellement en direction de la maison Asano avec ses parents. Elle n'avait aucune envi d'y allez.

Rien que voir sa tête de poireau à l'autre me donne envi de gerber... alors en plus dans cette maison plus froide que la morgue j'ai juste envie c'est de mourir》

 En effet, contrairement à la sienne, la maison Asano était grande, certe, mais très peu meublé et surtout bien trop grande pour seulement deux petites personnes. La froideur corporel des roux se reflétait sur la maison et donnait une ambiance à l'image d'eux, une maison sombre.

 Lee entra dans la bâtisse de son directeur, la sale ambiance qui y régnait ne lui avait pas manqué. Instinctivement, la brune pressa le pas dans la pièce qui a le plus de chaleur humaine, à son plus grand malheur, la chambre de Gakushu

Elle ouvrit précipitamment la porte, ne faisant pas attention à ce qui l'entourait. Elle s'allongea sur le lit, qui était plutôt doux d'après les dires de l'adolescente, et ferma les yeux.
Le vide qui commençait à se faire dans la tête de Lee, fut couper par le nouveau déplacement de la porte. Cette fois-ci ce fut Gakushu qui entra. 

- Tu aurais au moins put salué mon père. Dit le roux en s'installant à son bureau, remplis de manuel tous ouvert et scolaire.

- Il doit avoir l'habitude maintenant. Lee s'en fichait, le propriétaire de cette maison était loin d'être sa priorité pour l'instant.

Elle referma les yeux profitant du calme qui régnait dans la pièce. La brune sentait le regard du prodige encore quelques secondes sur elle avant que celui-ci ne retourne à ses révisions.

Ils restèrent comme ça, chacun dans son coin jusqu'à l'heure du repas. La mère Sasaki entra dans la chambre comme sa fille l'avait fait précédemment, sans frappé.

- C'est l'heure du repas ! La joie habituelle de la jeune femme se ressentait au ton de sa voix.

Et avec cette simple phrase, elle repartait comme elle était entrée. Les deux adolescents coupèrent net leur activité. Ils descendirent donc dans la salle à manger dans une synchronisation des plus anormal.

Maïa Susuki, posa sa main sur son cœur et prit une tête des plus grands comédiens. L'autre main essuyer une larme imaginaire au coin de son œil.

- Mes cher ami et mari, notre rêve se sont enfin réalisé. Une entente c'est faites chez nos enfants ! La fin de sa phrase fut une explosion de joie par rapport au début,  qui était d'une tristesse comique.

Les deux enfants s'assayaient chacun à leur place, ne prenant pas compte de la remarque de la seule mère du groupe.
Le repas se déroula dans cette même ambiance, ni tendu, ni joyeuse.

Juste calme.

Le repas se termina, et dans la même synchronisation que le début de repas, les deux adolescents repartaient.

Comme à l'arrivée, comme au début de cette soirée, Lee s'allongea sur le doux lit de Gakushu. Lui, il s'installa à son bureau, comme pour reprendre ses révisions.

Comme à l'arrivée, comme au début de cette soirée. Il la regarda. A la seul différence, les secondes. elles se transformaient en minutes. Deux, puis cinq et enfin dix. Lee sentait toujours le regard du roux sur elle.

Elle ouvrit les yeux, tourna sa tête vers lui. Il ne s'en cachait pas. Il la regardait.

- Qu'est ce que tu veux toi. Cracha-t-elle.

- Rien, je ne me souvenais juste pas que tu étais aussi bête.

Il détourna le regard pour ses carnets de notes. Il prit un crayon et continua ses réécriture et relecture.

- Dit le petit toutou de son père.

Il se leva brusquement, et la colla au mur au-dessus de son lit, sa main sur sa gorge. Il ne voulait pas la tuer, ni lui faire mal. Il voulait lui faire peur.

- Redis. Si tu y arrives !

Elle respira, malgré la difficulté de ceci à cause de la main d'Asano.

- T'es qu'un sale chien qui obéit au ordre de son père. Tel un pantin !

Il essaya de l'enfoncer un peu plus dans le mur, et approcha son visage du siens. Les jambes semi allongé de Lee étaient coincé par celle de Gakushu qui venait de complètement monter sur le lit.

Après quelques secondes dans cette position, le prodige enleva enfin sa main de la gorge de la brune. Un fin sourire se dessina sur ses lèvres.

- Je n'ai pas à me soucier de ce que pense une épave.

Lee fronça les sourcils, mais ne releva pas l'insulte, trop occupé à masser son coup endolori. Après avoir reprit constance elle sortit précipitamment de la chambre et même de la maison, les larmes aux yeux.

Gakushu, lui, essayait de se concentrer, encore une fois, sur ses révisions. Sans aucun succès.

Il savait.

Il savait cas chaque fois qu'elle ouvrait la bouche c'était pour dire une vérité. Il la connaissait suffisamment pour savoir cela. Que ce sois à l'assemblé se matin, ou même maintenant. Mais il ne l'avouera jamais en publique. Il avait trop de fierté pour cela.

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j'aime bien ce chapitre, je ne sais pas pourquoi. Je trouve que je l'ai plutôt bien écrit. 

Chapitre ---> terminé

Bleu Mandarine {Asano x Oc}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant