Chapitre 18 : Ancre

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Song : Breathe / Asgeir


Ayleen

Il est 8h00 et personne n'est encore réveiller, trois heure depuis que je me suis revu tirer sur ce qui s'avère être mon meilleur amie. Cette image que j'ai de lui. Tout est floue et pourtant qui ma l'aire si faux que cela effacerait la réalité.

Et j'ai fini deux bouteille de vodka en 15min après notre échange avec cette enfoiré, et maintenant je m'ennui à mourir.

Je me lève du canapé sur lequel j'étais assis et me dirige vers la cuisine je regarde dans tous les placards de quoi faire des gaufres et des pancake, j'allume mon téléphone et met ma playliste, je m'enjaille sur la musique onerepublic, j'attache mes cheveux en un  bref chignon, et commence les préparations.

1h30 après la pate à pancake et gaufre à fini de reposer, je commencer à les faire chauffer et retourne les pancakes quand ils commencent à doré, je mets le tout après dans une assiette et recommencer l'étape plusieurs fois. Avec mia madre on adorait cuisiner, et c'est la seul chose que je n'ai pas oublié ce sont nos recettes de gaufre et pancake, mon père lui était notre gouteur.

Flashback

Ayleen,8 ans.

-Aller danse avec moi, mio angelo ! Elle me prend les deux mains et on commence à bouger dans tout les sens au rythme de la musique, elle me fait tourner sur moi-même et on continue jusqu'à ce que la fin de la musique se fasse entendre.

-Mama ? Dis-je alors que l'odeur de brûler se faisait sentir.

-Oui mon cœur ?

- Bah tu ne sens pas cette odeur ?

-Mierda ! Elle se précipite vers les pancake carbonisé sur la poêle, elle éteint en vitesse le feu et projette les pancake dans le lavabo. Elle fini par lever la tête et elle me regarde, puis toutes les deux on explose de rire, nos rires envahissent la pièce, une mère et sa fille, une vie lambada pour certain et pour d'autre un rêve jamais exaucer.

Puis silence lorsqu'un grand homme avec un masque qui m'a l'aire familier rentre, ma mère se met derrière le sachet de farine.

- Que faites-vous mesdemoiselles ? Demande-le masquer.

-On était entrain de faire des bêtises. Dis maman.

-Et qu'elle genre de bêtise.

-Des bêtises entre moi et Ayleen. Il s'approche de plus en plus de nous, je vois ma mère tenant derrière son dos le sachet de farine.

-Ah oui ? Il n'est plus qu'a un mètre de nous et je me prépare déjà à courir.

-Ah et j'avais oublié.

-Quoi donc ? Demande mon père.

-Ca ! Puis elle lui jette le paquet de farine et tout se déverse sur lui, il ressemble à un bonhomme de neige et rien que en voyant sa tête mon plan de m'échapper tombe à l'eau et tout nos rires reprennent, je ne m'arrête plus de rires et lorsque je pensais que c'était fini deux bras me soulève et je me retrouve la tête à l'envers.

-Qu'avez-vous à dire pour votre principesa? Mon père qui ne m'a pas lâché et ma mère qui rigole de plus belle en voyant ma tête rouge pivoine.

-Que je suis la plus belle et gentille petit fille au monde ?

-Et ?

-Et que je suis une princesse !

bruciatura rosaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant