bruciatura rosa

Chapitre 13: Pantin

Song :Paralyzed/ NF

TW : violence ; viol.

(Faite attention a vous passer si vous aimer pas se genre de scène <3)

Flashback

Ayleen

-Non pitié ! NON LACHE MOI !

-Ferme là petite pute tu as désobéi à la règle numéros 23. Et tu sais qu'est ce qu'on fait aux petites chiennes dans ton genre ? Et pour toute réponse je lui crache mon plus beau molard.

-Salope, tu vas le regretter je t'en fait la promesse.

Il me tire si brusquement que j'ai manqué de me ramasser tête la première sur le bitume. Mes jambes tremblent et manque de cédé à cause du poids de ma peur.

Seulement ai-je le droit de continuer à avoir peur ?

Il me pousse dans une des cellules de redressement. Mais je savais qu'avec lui, c'était fini plus d'échappatoire plus de retour en arrière, plus rien. Plus de porte de sorti, simplement moi et lui.

-Très bien, bien, bien, bien ... Il répéta ce mot encore une bonne dizaine de fois comme si il se demandait comment il allait si prendre. On ta déjà dis que ton petit corps faisait bandé ? Oh ma jolie mais non tremble pas tu vas voir je vais bien prendre soin de ton petit corps qu'il en redemandera encore. A la fin de ses mots il se lèche les lèvres et son regard me dégoute, mon ventre se liquéfie et des remontées acide me parvienne.

Il me contemplait de fascination, mais ce que vous ne savez pas c'est que lorsque j'ai mis les pieds ici je ne pensais pas en arriver la. Je ne pensais pas que je deviendrais celle que je suis, un monstre. Je ne ressens plus rien, appart ma douleur qui s'intensifie.

Mais je nus pas le temps de faire quoi que se soit qu'il se jette sur moi et déchire mon uniforme, mais personne m'entendra car personne ne fais rien c'est la règle si tu interviens tu te fais torturer pendant des jours ou bien tu meurs d'une balle entre les deux yeux. Vous aurez beau supplier tout les dieux pour qu'il puisse vous sauvez personne ne viendra.

Il me sert tellement fort les bras que sa prise me laissera des sales bleues, il me tient de façon à ce que je ne puisse plus bougé, les mouvements ne me sont plus accordés et il le sait parfaitement. Je sais qu'il en rêve de faire ça. Mais ces lui qu'il l'a envoyé, pour me montré une autre sorte de torture.

Je n'ai plus rien qui couvre mon corps, je me sens si faible. Il contemple mon corps avec satisfaction, il fait balader sa main sur mon corps mais je ne dis rien, je ne fais rien car ces le pris à payé pour elle, pour moi et cette règle que j'ai désobéi. Le dégout me lacère les entrailles, autrefois, quand on était las et dégoûté du monde, on entrait au couvent ; et lorsqu'on avait du bon sens, on y restait....

Et je le senti me pénétrer, je le senti prendre du plaisir, il était là en moi. Mais je ne voulais pas y pensé car ça fais si mal, de se sentir impuissant, de ne pas savoir quoi faire pour s'échappée de sa misérable réalité. Il continuait encore et encore je le senti entré et sortir en moi. Je n'étais que sa simple poupée russe pour assouvira son désir. Il est parfois dans la vie de ces rencontres bizarres qui décident de vous comme une main détermine les mouvements d'un pantin.