bruciatura rosa

Chapitre 34: à double tranchant

"La vie serait certainement insupportable sans une certaine inconscience."

La voiture s'engagea dans une allé de gravier aussi bien soigné. La villa qui nous faisais face était à l'écart, enfoncer loin de la ville.

dans une forêt bien trop flippante aussi.

Le jardin était bien entretenu, les arbustes taillés à la perfection, de différentes forme, en rond, en tourbillon, en rectangle, et j'en passe. C'était fascinant. J'étais limite comme une gamine qui va pour la première fois à Disneyland seulement le seul coter négatif c'est le temps grisâtre.

La villa était tout aussi belle, des colonnes soutenaient le devant, si joliment tracé, de pierre blanche. La devanture était tout aussi spectaculaire, je tiens mes propos, de grande baies vitrée couvraient celle-ci, aussi joliment décorée de l'extérieur, elle n'avait pas l'air aussi effrayante, mais plutôt chaleureuse. Comme si elle abritait tout un tas de souvenirs si douloureux qu'important.

Il gara la berline noir, puis sortit sans m'attendre, directement je le vois saisir une clope de son paquet et griller le bout de celle-ci. Son visage était fermer, sans appelle et sa marchoir était si contracter qu'il manquerait de se la déboîter.

Une pluie torrentiel s'abattu sur nous ce qui me fit pester, j'accélérai du pas, mais l'allée était tellement grande qu'en l'espace d'un instant, je fut trempé de la tête aux pieds. Le brun a coté de moi continua de fumer tandis que sous ce temps je me mis à calquer des dents.

L'instant d'après, avec brutalité un projectile m'arriva en pleine face. Confuse j'observe les broderie du dos de la veste en cuir, ou plutôt de sa veste en cuir. L'effigie du gang était brodé, et c'est maintenant que je m'en rend compte, ce gang n'est pas qu'un simple gang c'est une famille, je passa mes doigts sur les broderies de la rose.

Je l'enfila puis sans emprunt le brun ouvrit la grande porte, mes yeux parcourus l'intégralité de la pièce, tout était épuré, les tons se mariaient bien entre eux, le marbre rendait un côté chic, mon regard se bloqua sur une statue, Angerona, celle que j'ai graver sur mon corps à l'encre indélébile.

Des pas feutré me coupèrent dans ma contemplation, mon visage se tourna vers ceux-ci, et je fis face à ce fameux Roberts hicks, ce dernier me détailla puis arrêta son regard sur la veste.

- Bien le bonjours Ayleen, c'est un plaisir de te voir. Me fit ce dernier

-Pas pour moi désolé. Un ricanement sorti de sa bouche puis il nous intima de le suivre.

Le quinquagénaire, nous fit entrer dans un immense bureau, tout était en bois, et rien qu'à la brillance du bureau lui même je me cacherai de savoir le prix de celui-ci, un verre de bourbons est pose également sur celui-ci.

-Bien. Il s'assied sur son fauteuil probablement en cuir, ce qui m'interpella c'est la tension qui règne entre les deux hommes présents dans cette pièce.

-Si je vous ai réuni ici c'est pour vous parlez de la prochaine mission. Comme chaque année un gala de charité a lieu, aucune arme, aucune guerre, nous sommes là juste pour gagner des informations, crée des liens avec d'autres gang enfin tu connais je suppose. Je hoche la tête pour confirmer ses propos.

-Cette année c'est nous qui l'organisons. Je recule d'un pas, comme si sa phrase se répercutait dans mon esprit, gala, soirée, nous. Encore une fois j'étais trop naïve pour comprendre que le côté glamour, chic c'était pour ça, voilà pourquoi nous avons été dans une boutique de décoration hors de prix, c'était pour ça.