bruciatura rosa

Chapitre 32: Contrat

« Tout ça devenait trop irréel pour penser que c'était en train de se passer »

Qu'ai-je pu faire pour en arriver là ?

Phoebe qui terminais les dernières retouches tandis que moi je continuais à rester silencieuse, silencieuse sur la décision qui m'avait pousser à arriver là où j'en suis.

-Tu es bien sûr que tu ne veux pas que je te montre quelque figure histoire que ton ego n'en prenne pas un coup? Me demande pour la énièmes fois Kayla.

-Certaine, j'ai pas besoin d'une démo.

-C'est une très très mauvaise idée... Déglutis Kayla en me détaillant de la tête au pied pour inspecter la tenu quelque peu minimaliste.

-Ashton va péter les plombs. Ajouta Phoebe, elle aussi m'examinant.

-Souhaitez-moi bonne chance! Leurs dis-je confiante

Flashback 12 heures avant...

Une clope emprisonner entre mes lèvres, j'aspire une longue taff avant de noyer cette fumée toxique dans mes poumons, ils étaient là à attendre une explication de ma part, quoi de mieux que de faire durer le suspense ?

Je les fixais tours à tours un rictus mauvais se formait au coin de mes lèvres, mais je pouvais entendre les battements de mon cœur tambouriner dans ma poitrine.

Ma mallette au centre trônait au milieu, j'avais envie de me foutre en l'aire pour fuir la réalité, les garçons me regardaient avec un regard noir mais aussi de la confusions, tous autours de l'îlot centrale de la cuisine, je fini par me lever captant l'attention de tout le monde.

J'entrepris d'ouvrir celle-ci la déverrouillant et montrant à la vue de tous ce qu'elle contenait. Dans un mouvement rapide Ashton pointa son arme sur moi anticipant son geste je lui pointa mon arme en retour.

Tout le monde avait cesser de respirer, l'atmosphère se chargea en tension avant que je ne prononce:

-Baisse ton arme si tu veux me plombé fais ça après que je te donne les réponses à tes questions. Il fini par baisser son arme attendant la suite.

-Arrête un peu ton petit numéros et dis nous ce que toi tu nous cache. Cracha ce dernier, le Ashton qui se montrait bienveillant le soir n'est qu'une illusion car celui que je vois en face c'est le parfait prototype d'un connard sans nom.

-Très bien puisqu'il y a des impatients, on va commencer. Annonçais-je en le toisant du regarde, je prend une grande inspiration avant de commencer mon récit.

-J'ai déménagé en Russie , ma mère croulait sous les dettes au fur et à mesure, puis elle a fini par s'y abandonner, sombrant dans le mauvais côté de la vie. Alors j'ai fais toute sorte de petit boulot afin de l'aider à s'en sortir, mais cela n'est pas suffisant et puis un jour sur le marcher dans lequel je vendais des matriochka, il m'a proposer de me joindre à lui.

-Qui ça il. Demanda avec une froideur déconcertante Ashton, je fini par détourner le regard préférant me concentrer sur autre chose que leurs regards à eux qui me scrutaient tels une étrangère.

-Celui qui m'a fait devenir ce que je suis, une machine à tuer. Un ricanement se fit entendre et tous se tournèrent vers la source, apercevant un homme assez âgé d'environ la quarantaine habiller d'un costars haut de gamme me scruter de la tête au pied, son aura dégageait une confiance déconcertante, tandis qu'il m'examinait il s'approcha de moi.

La mâchoire d'Ashton se contracta violemment à la présence de cet homme, comme si il se retenait de le cogné violemment mais pour une raison qui m'échappe il ne le fit pas.