"Son absence était comme un écho vide dans nos vies, réveillant une angoisse profonde qui ne demandait qu'à être dissipée par son retour."
Ashton
Boston 23h48
Cela fais maintenant 9 mois que je n'es plus revu son vert mer, 9 mois que la douleur plane en chacun de nous, 9 mois que l'évocation de son prénom est un sujet tabouc qui réveille tant de souvenirs douloureux.
C'était un trou béant qui se creusait au file des jours en moi, tout le monde n'était que le fantôme de leurs âmes finalement, personne n'évoquait ce soir là, qui marqua la fin de se contacte visuel entre le siens et le mien.
C'était comme si tout c'était arrêter, que rien ne serais plus pareil sans sa petite tête d'emmerdeuse, je veux détruire tout ceux qui l'ont détruit, tuer tout ceux qui ont posé les mains sur son petit corps meurtri...
La simple pensée d'elle m'envoya une vague de haine.
Comme à mon habitude à la même heure, mes pas me guides près de cette porte, le cœur lourd, le raisonnement de mes pas dans la maison brisait le silence de mort qui y régnait.
tout était vide sans sa présence.
Ma main abaissa la poignée, et le son frénétique de la machine me parvient aux oreilles. J'avance près de ma place habituel et m'y asseyais.
Je me servis par la suite un verre de vodka pure, alors que pourtant j'ai horreur de cette alcool, mais depuis, j'ai appris à aimer son goût, avec elle, avec le goût de ses lèvres.
Lorsque je passais devant cette porte, de la chambre où se trouve le problème, une bouffée de peur et de culpabilité me submergeai. Je sentais mon cœur battre plus vite, ma respiration s'accélérer.
Une voix intérieure me susurrait que je devrais régler cette affaire une fois pour toutes, mais une autre voix, plus forte et plus effrayante, m'incitais à tourner les talons et à fuir.Mon corps se sentais lourd, comme si chaque pas vers cette chambre était une montagne à gravir. Finalement, je me dégonflai comme à chaque fois,mes épaules s'affaissaient, et je choisissais de continuer mon chemin, repoussant une fois de plus la confrontation avec le problème qui me hante. Elle, j'avais la trouille de rentrer dans cette putain de chambre qui inspire la mort.
Je la contemplais, dans ce lit, le visage pâle, la peau fine, et ses longs cheveux que j'aime toucher du beau des doigts, mais rien ne pourrais remplacer la couleur de ses yeux...
-Principesa, qu'as-tu fait de moi? Soufflais du bout des lèvres,avant de boire une gorgée.
Chase nous avait informé de beaucoup de chose à son sujet, elle a eu 6 côtes cassées, des plaies mal cicatrisées, elle aurait pris plusieurs balles, elle comporte de multiples fractures,son corps était un brouillon, le brouillon souiller de son passé, la seule pensée de savoir que des gens lui ont touché une mèche de cheveux me met en rogne.
Mes doigts se raffermir sur mon verre, si fort qu'il se brisa en plein de petit morceau, comme elle.
Elle s'est pris une balle à ma place, tout ça par ma faute.
Ma faute
Ma faute
Ma fauteEst ce qu'elle va s'en sortir ?
Est ce qu'elle va mourir ?
Est ce qu'elle va m'abandonner ?La sonnerie de mon téléphone retentit, je poussa un grognement avant de décrocher.
-Oui.
-Ashton il faut donner rendez-vous au mexicains, ils ont tués les hommes de deux fourgons de nos alliés sur notre territoire, et nous ont pris la marchandise avec.
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bruciatura rosa
Teen FictionJe ne sais pas si on peut appeler ça de la malchance, une chose est sûre la malchance est une circonstance atténuante que la vie donne aux ratés. Et j'étais une ratée sur tous les points existant dans ma misérable vie. Ayleen Carston, une fille don...