XXXV.

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Moi: Et pourquoi tu n'as pas osé ?

M: Parce que.. - je la regarde en croisant mes bras sur ma poitrine - Tu es la première que j'aime..

Moi: ... Sérieusement ?..

M: Tu es la seule à m'aimer pour ce que je suis à l'intérieur, qui sait que j'ai un bon fond et que je ne suis pas la fille égoïste qui ne pense qu'à elle seule comme les autres le pense.. - elle approche de moi - La seule à avoir plus d'importance que la torture pour moi. Tu es tout ce que j'ai de mieux Twelve.. Tu fais ressortir le meilleur de moi.

Elle approche encore et pose sa main sur ma joue. Xavier va me buter mais je laisse mes lèvres rencontrer les siennes.

Elle entoure ses bras autour de mon cou et intensifie le baiser. Je pose mes mains sur ses hanches et profite à fond.

Moi: Tes lèvres m'ont énormément manqué princesse.. - entre-deux baisée-

M: Embrasse-moi et Ferme-là Weems..

Je souris contre ses lèvres et on s'embrasse de longue minutes comme des junkies en manque de drogue.

On finit par se séparer.

Moi: Tu m'as manqué..

M: Tu m'as manqué aussi ! - sourit - Par contre arrête de rejeter Groot de la sorte.. Il essaie vraiment de faire des efforts.

Je ne répond pas et on retourne à l'école. Larissa est encore devant avec les parents de ma brune préférée.

L: Allez les enfants, on doit y aller.

Mercredi me sourit et on monte dans la voiture.

°°°°°°°°°°°°°°°°

Moi: Juliana vient ranger tes jouets ! Ta mère va pas tarder à rentrer !

La petite blonde coure dans la pièce un sourire aux lèvres et son petit frère danse avec Groot. Juliana a 15 ans et Barry 12. Deux enfants merveilleux avec mes pouvoirs et ceux de leur mère, Mercredi.

Je suis tranquillement dans mon fauteuil attendant qu'elle rentre à son rendez-vous à sa maison d'édition. Je travaille comme productrice de musique pour des grands chanteurs.

Mercredi est toujours la Mercredi classique :
-Toujours en noir et blanc
- Class
- Froide sauf avec moi et les enfants
- Avec des Punchlines de malade.

?: Ça s'amuse sans nous ?

J/B: MAMANNNNN !! MAMIIIIIIIII !!!

Ils courent dans leurs bras tandis que je lève le regard vers ma mère qui est présente à côté de ma femme. Je me lève et va dans ses bras.

Moi: Bonjour maman, sa se passe bien à Nevermore ?

L: Très bien ma grande, je viens prendre vos petits monstres pour deux jours.

Je regarde Mercredi et elle prend ma main comme pour me dire de faire comme-ci je savais.

Moi: Merci maman, allez préparer vos affaires mes chéries !

Mes enfants obéissent de suite et monte à l'étage. Je viens embrasser ma femme qui a désormais les cheveux longs détaché, un maquillage léger et toujours une petite taille mais un corps que je n'ai jamais exploré.

On a jamais vraiment pensé à coucher ensemble. C'est ce qui a permis à notre couple de tenir aussi longtemps.

Les enfants partis, on s'installe sur le canapé avec un thé. Il fait froid en ce moment. Elle me regarde avec son regard charmeur habituel.

M: Tu croyais que j'allais oublié nos 18 ans de mariage ?

Moi: Non mais je ne pensais pas que tu allais mettre carrément les enfants à la porte !

Elle rigole et boit son thé.

Moi: Et pourquoi tu as foutue nos gosses à la porte ?

Elle se rapproche de moi et m'embrasse.

M: Pour ça..

Elle pose ma tasse sur la table et m'allonge sur le canapé, sous-elle. Elle m'embrasse avec amour et sauvagement en même temps, c'est contradictoire..

Elle me retire mon haut rapidement et puis je lui retire aussi.

En sous-vêtements, ses baisers commence finalement à descendre sur mon cou. Je pousse des soupires de plaisir en sentant sa main libre me caresser à travers le tissu de mon bas..

Je me laisse pas faire si facilement et pose ma main sur l'un de ses seins. Je joue avec un moment puis la brune entre violemment un doigt en moi.

Je laisse ma tentative de reprendre le dessus et laisse mon corps à ses mains pour l'instant. Elle fait des vas-et-viens  puis, dès que je suis plus à l'aise, en entre un deuxième.

Je finit par jouir sur ses doigts. Je la prend par les hanches et la met à ma place. Je décide de la faire languir en la caressant très proche de l'objet de son plaisir. Je lui souris de façon narquoise et passe de son cou à son ventre puis de celui-ci à entre ses jambes.

J'entends sa respiration partir en cacahuètes dès lors que je retire son bas. Ces gémissements ne tarde pas à emplir la pièce.

À son orgasme, je remonte et l'embrasse. Désormais nue, je la porte et l'emmène dans la chambre pour terminer ce que l'on a commencé...

Finalement,

J'ai réussi à l'avoir ma femme.

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Fin :)

The Pain Build Me {Mercredi Addams}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant