Chapitre 79 - les tenebres reviennent

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Le pays imaginaire, 15 mois plus tard.






Les arbres avaient tournés au noir, montrant que leurs vitalité les avait quittés.

L'air était froid et sec, brûlant les poumons de quiconque essayerai de survivre sur cette Ile maintenant délabrée.

Le sol était dure, les plantes avaient fanées.
Des dizaines de cadavres de fées reposaient sur le sol. C'était macabre.
C'était abominable.

Toute la population qui résidaient sur l'Ile avait succomber aux ténèbres, refusant de continuer à vivre.

C'était une apocalypse monstrueuse.

Seul l'ombre était encore active, assise sur une barque au milieu de l'océan infini qui entourait l'Ile.
L'ombre.
L'ombre avait survécue.
L'ombre était les ténèbres.
L'ombre avait précipité l'abandon de l'Ile.
Elle avait tenté de sauver le plus de monde possible, car elle avait su que la suite serait explosive.

Mon esprit se baladait encore sur ces terres, se souvenant de tout les bons moments, comme des mauvais.

Celui de Peter aussi était la, parfois nous nous rencontrions en recherchant nos souvenirs.

Parce que en dessous, ce n'étais plus du tout comme nous avions essayé de l'être. Nous étions devenu sauvage, agressif et violent.

Seuls nos esprits demeuraient encore amoureux.

Mes pensées rejoignirent la petite créature volante, allongée sur le sol, et se posa près d'elle.

Cette fée avait passé le début de sa vie à me sauver, et elle avait donné sa vie pour cela.


















































Le pays imaginaire, présent.








"- Peter ! Cela va faire 10 minutes que je t'attends ! Dépêche toi s'il te plaît." Hurlais-je depuis la salle de bain.

Je l'entendis rire.
Ces derniers temps, il est vrai qu'il faisait énormément d'effort. Il avais compris qu'une relation devait fonctionner dans les deux sens et pas uniquement que dans le siens.

Il avais prouver ses sentiments, et maintenant j'étais certaines que c'était réciproque et non parce qu'il était possessif et obsessionnel envers moi.

"- J'arrive, ma belle."

Il sortit de la salle de bain, torse nue, avec une serviettes autour des épaules. Il était mais... terriblement sexy.

Je pris une de ses chemises, et la déplia, lui donnant. Il jeta la serviette sur le lit et l'enfila, sans prendre la peine de fermer les boutons.

Je souriais bêtement.
Dieu.
La rechute était intense.

Je m'avança lentement vers lui, la tension dans l'air était palpable.

Je me mis à fermer ses boutons, un par un, sans lâcher son regard.

Son souffle me chatouillait le visage.
Sa main se posa sur ma taille et remonta vers ma poitrine.

"- On a pas le temps..." murmurais-je.

Je ne me croyais même pas, alors lui ne devais même pas y croire non plus.

Mes mains se posèrent sur son torse, de son index il releva mon menton, faisant rentrer nos lèvres en collisions.

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