The knights of hell : Rosa ou Cléo

Chapitre 17

Adam

Je m'en veux de l'avoir laissé seule dehors tout à l'heure. J'ai vu qu'elle n'étais pas bien mais elle voulait être seule. J'ai respecté son choix mais mon cœur c'est comprimé dans ma poitrine. Depuis je fais les cents pas dans ma piaule comme un lion en cage. Alors dès que j'ai entendu l'eau couler j'ai ouvert la porte. Elle est là. Debout devant la baignoire. Ses yeux sont rougies et légèrement enflés. Je devine qu'elle a pleuré. Mon cœur se compresse encore plus. Je comble l'espace qui nous sépare, prends son visage en coupe et l'embrasse. Mon baiser est tendre, mais passionné. Lorsque nous nous détachons, je pose mon front contre le sien.

- Tu vas bien ?

- Je suis épuisée et perdue. Je ne sais plus quoi penser et j'ai ... peur pour mes frères, ma tante, vous. Avoue-t-elle, les yeux fermé.

- Il se fait tard, déshabilles toi et viens avec moi dans la baignoire. Dis-je en me détachant d'elle, elle ne bouge pas.

Elle me regarde de ses grands yeux fatigués tandis que je me dénude. Une fois nu, je commence à lui enlever ses vêtement. Elle se laisse faire docilement. J'enjambe la baignoire et l'aide à venir avec moi. Nous nous essayons, elle se blottis contre moi. Elle pousse un léger soupire. Je masse ses épaules puis son cou. Des nouveaux hématomes apparaissent sur sa peau. J'entreprends de la laver, je passe méticuleusement sur tout son corps.

Quand je commence à la rincer, je remarque que sa respiration est lourde et profonde. Je penche pour voir son visage, ses yeux sont fermés. Elle s'est endormie, je sors de la baignoire avec elle dans mes bras. Je la sèche puis lui enfile un t-shirt. Je l'installe dans son lit. Je me douche rapidement dans la douche puis mets un short. Je rejoins Cléo dans la chambre. Je n'ai pas envie de la laisser seule cette nuit. Je me mets dans les draps avec elle. Elle se blottie contre moi et la seconde même quand je me tourne vers elle pour la prendre dans mes bras. Je suis épuisé moi aussi, avec tout les événements de ces derniers jours. A mon grand étonnement je m'endors rapidement.

Ce matin, je suis réveillé par des petites caresses sur mon visage. J'attrape la main et dépose un baiser dans la paume de celle-ci. J'ouvre les yeux et découvre Cléo devant moi. Elle a un petit sourire, je prends ses hanche et la ramène près de moi. Elle se blottit contre moi. Elle dépose un léger baiser sur mes lèvres. Je l'approfondis en passant ma langue à travers ses lèvres. Elle gémit, ses mains caresse mon dos, mon torse. Je la bascule sur le dos. Ma main descend vers son entrejambe. Je sais qu'elle n'a pas de petite culotte vu que c'est moi qui l'ai habillé hier soir. Je commence à jouer avec son clitoris avec mon pouce tout en insérant un doigt en elle. Elle émet un léger grognement roque. Tandis que je malaxe un de ses seins. Je prend l'un de ses tétons dans ma bouche je le titille, le mordille. Elle se courbe, elle caresse mon ventre pour aller jusqu'à mon penis qu'elle prend dans son poing. Je grogne de plaisir et fonce sur sur ses lèvres. Je me détache de ses lèvres juste le temps de respirer.

- On y va doucement ma belle. Tu as une côte cassée. Lui dis-je doucement en caressant d'une main sa joue.

- Et toi, tu as une épaule blessé. Alors laisses moi faire. Nous ne pouvons peut-être pas faire grand chose du à la douleur et au courbature d'hier soir. Mais je peux faire ça. Dit elle en m'allongeant sur le dos. Elle dépose de petits baisers dans mon cou, sur mon torse. Elle descend de plus en plus bas. Je me tends quand elle me prend en bouche. Elle commence à me sucer, me lécher. Je résiste a prendre sa tête pour accompagner le geste. C'est trop bon. Mes hanches se lèvent toutes seules. Elle alterne entre des gestes lents et rapides.

- Putain Cléo ! Stop! Arrêtes je vais ... articulais- je, mais elle accélère le mouvement jusqu'à ce que je jouisse dans sa bouche. Elle avale tout puis se relève lentement vers moi. Je la prend par les hanche, la bascule.