Chez lisa

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PDV Lisa
Je suis monté à l'étage, je voulais juste être seule, quand j'ai ouvert la porte la chambre était plongé dans le noir. J'ai allumé la lumière et j'ai vu Théo assis sur mon lit. Avec le pistolet dans ces mains, il me fixait d'un regard tellement intense.

Moi: comment t'as fait pour rentrer.

Moi: c'est du harcèlement, je pourrais appeler la police.

Il m'ignora.
Il se leva et s'avança vers la porte, il ferma la porte à clé.

Moi: tu fou quoi là?? Dis-je étant l'air perplexe.

Il m'a pas répondu. Il éteignait la lumière.
Nous étions plongé dans le noir absolu.

Moi: mais qu'est-ce qui te prend!!!

J'avais un peu peur parce qu'il avait toujours son arme sur lui.

J'entendis des bruits de pas, j'ai reculé un peu, mais le bruit s'intensifiait.
Cette fois ci j'entendis le bruit de pas venir vers l'arrière alors je me suis avancé. J'étais pétrifié.

Moi: arrête ça Théo!!!

Soudain il me prit par la taille alors que je voyais rien mais j'ai senti la prise.

Il m'a chuchoté à l'oreille.

Théo: tu me fuis. Dit-il d'une voix roque et sombre.

PDV Théo
Personne ne sortira d'ici tant que tu m'aura pas dit la raison pour laquelle t'es resté auprès de moi cette nuit là. Ma belle, nous sommes tout les deux dans le même bateau.

PDV Lisa

Moi: je te fuis pas, j'ai pas peur de toi.

Théo: et pourtant tu devrais. Dit-il en posant le pistolet sur mon front.

Moi: et pourquoi ça?

Il me serra encore plus par la taille, il murmura...

Théo: tu me connais pas assez ma belle.

Il me relâcha, et me posa encore cette même question.

Théo: pourquoi es-tu rester auprès de moi cette nuit là ?

Moi: si j'étais pas resté ton état allait s'aggraver.

Théo: je te crois. Dit-il sarcastiquement.

Moi: si.

Il ralluma la lumière, il me regarda de haut en bas avec les mains dans les poches, plus son regard était intense et charismatique plus je me sentais bizarre.

J'ai vite détourné le regard pour qu'il ne remarque pas que j'avais pleuré.

Il se rapprocha de moi et s'assit devant moi.

Théo: pourquoi pleurais tu ?

Moi: je pleurais pas.

Théo: je t'ai entendu chialer tu sais.

Non non putain pas ça.

Il se leva brusquement, il mit son pouce sur ma joue et essuya quelques gouttes de larmes. Il glissa lentement sa main sur mon visage et son autre main, était dans mes cheveux, il se rapprocha plus près.
J'ai détourné le regard.

Moi: tu ferai mieux de partir.

Théo: je m'en irai pas.

Moi: répète!?

Théo: je m'en irai pas, ça te pose un problème.

Théo: problème ou pas je m'en fou, je reste.

Théo: ton avis m'importe peu.

J'étais choqué par son arrogance.

Moi: tu te prends pour qui!! Prétentieux!

Il me regarda avec intensité.

Théo: baisse d'un ton, petite créature.... Dit-il en se retournant.

Théo: j'ai l'impression que tu sais pas à qui tu t'adresses.

Moi: t'es qui?

Théo: bien.

Il enleva sa chemise, et oh mon Dieu!!!! Ces abdos, j'étais littéralement entrain de fondre de l'intérieur. Il se rapprocha de moi, j'ai reculé jusqu'à ce que j'ai trébuché, et je suis tombé sur le lit.

Moi: arrête Théo!

Il se posa sur le lit en tombant sur moi, il me regarda avec charisme.

Théo: tu veux vraiment savoir qui je suis?

Dit-il en chuchotant, la chaleur de sa voix m'effleura, j'avais une envie de l'embrasser.

Il portait ce collier autour de son cou, j'ai pas pu m'empêcher de regarder le collier, c'était si beau sur lui.

Moi: relève toi.

Théo: sinon quoi petite créature.

Théo: t'es pas en mesure d'exiger quoique ce soit.

Il commença à me caressé le cou, avec ces lèvres, il descendit sa main jusqu'à sur mes hanches.

Je l'ai repoussé il est tombé sur le côté. Je me suis vite relevé et j'ai courue quand j'étais sur le point de sortir, il me prit par le poignet.

Théo: c'est pas bien ma belle. Dit-il en bougeant sa tête de gauche à droite en signe de désaccord.

Théo: repoussé un mafieux.... C'est un crime.

Théo: par conséquent....

Il me rapprocha brusquement près de lui, je pouvais sentir la chaleur de sa peau. Il déposa ces lèvres sur les miennes, il commença à m'embrasser, je savais pas quoi faire, je l'aimais j'avais pas envie de le repoussé, mais il le fallait. Je l'ai gifler, et j'ai vite ouvert la porte pour sortir il me suivi dans les escaliers. Une fois arrivé dans le salon, je me suis mise derrière le canapé.

Théo: tu peux pas me fuir.

Moi: va t'en.

Il s'approcha de moi, et quand il est finalement arrivé à mon extrémité, j'ai essayé de m'en fuir quand il me plaqua contre le mur.

Théo: tu m'appartiens.

~Mafia Life~ (EN RÉÉCRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant