13 - Plaisirs partagés et plus si affinités

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J'ai ravalé mon envie de vomir, fait le tour du lit en me défroquant, puis j'ai avancé ma timide érection vers cette harpie. Je me sentais dans la peau du type qui s'apprête à jeter sa viande aux lions. Marianne s'est hissée sur les coudes, le menton tendu, ouvrant grand la bouche pour que j'y enfourne ce qui me passait par la tête. Je me suis contenté d'y glisser ma queue, encore un peu mollassonne - forcément, avec toutes les pastilles dont on nous gavait... Elle a refermé les lèvres sur mon membre, m'immergeant dans la fournaise moelleuse de sa bouche. Heureusement, il lui restait assez de lucidité pour ne pas y mettre les dents.

Tandis que je la pistonnais avec mon glaive émoussé, elle me fixait par en dessous, ses beaux yeux bleus, presque révulsés, accrochés à moi. Me voyait-elle vraiment, ou n'étais-je qu'un fugace prétexte à ses propres fantasmes, Dieu sait quelle combinaison d'amants à grosses bites, qui peut-être avaient failli avoir sa peau à force de la mettre ?

Je ne sais pas ce que les autres trafiquaient derrière l'horizon bombé de son postérieur - je voyais juste le poignet de Christian coulisser entre ses fesses - mais ça semblait lui faire de l'effet. Elle a soudain cessé de balancer son corps d'avant en arrière, a bloqué ma queue bien au fond de sa gorge et s'est mise à souffler par le nez, tout en poussant des grognements sourds. Agités de trémolos, sa langue et son palais me faisaient un massage localisé, compensant l'effet de ses molaires verrouillées sur mon gland.

Son premier orgasme depuis deux semaines, avec en guise de bâillon ma pine en caramel mou... Autant dire que je n'osais plus bouger d'un poil !

Marianne a recraché ma bite et s'est mise à haleter, luttant pour recouvrer son souffle, la tête juste au niveau de mon pubis. J'en ai profité pour enfouir mes mains dans la masse de sa chevelure, électrisé par les boucles compactes. Il y avait autre chose en elle qui me faisait envie... Je me suis penché en avant pour saisir l'un de ses seins, rond et lourd, cherchant à tâtons le bijou qui le crucifiait. J'avais à peine eu le temps de tirer deux ou trois fois sur l'anneau qu'une nouvelle « réaction en chienne » se déclenchait chez ma partenaire.

Sa bouche s'est mise à chercher ma bite, sa langue faisant rouler mes couilles, enveloppées par la chaude pellicule d'air de sa respiration oppressée. Elle était aussi avide de me pomper qu'un petit veau sous la mère (comparaison un brin osée, j'avoue, mais le sexe est animal avant tout).

 Pendant quelques instants, je lui ai giflé les joues avec mon membre, l'empêchant de le gober à son aise. Marianne a fini par s'emparer de ma queue, entamant aussitôt une série de succions à défaillir de bonheur. Mais ça ne me suffisait pas. Je l'ai agrippée fermement par la crinière, guidant ses mouvements pour qu'ils soient bien amples. Dans le même temps, des mains nerveuses la tenaient par les hanches, amplifiant les allers et retours sur ma pine.

Pendant que je m'efforçais de la baiser par la bouche, Christian la sodomisait sèchement, un rictus sauvage figeant ses traits.

Mon stage chez New LifeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant