fanfiction Tome 1-Esprits Criminels - SpencerX Abigaelle

Chapitre 33

Pdv Abigaelle 

IL hausse la voix en pointant son arme sur moi: 

-Comment ça ils ne sont pas morts?! 

Je parierais que c'est la police locale qui a contredit les ordres du FBI, dès qu'ils ont récupérés les deux présumés morts, se disant qu'ils avaient ce qu'il fallait pour les mettre derrière les barreaux, ils n'ont pas attendus plus longtemps et ont lancés l'assaut sur lui. 

Je me retrouve dans la merde maintenant! 

Je fixe l'arme, pas le choix, vive, je donne un coup de pied dedans, il l'a lâche. Rageur, il me saute dessus en hurlant de haine.

-Traitresse! 

 La voiture étant trop exigue, je ne peux le contrer ou l'esquiver, il me rut de coups de poings pour m'étourdir. 

Je le vois sortir un couteau, son visage est déformé par la rage, il gronde: 

-Je ne serais pas le seul a tomber, je t'envoie six pieds sous terre!

La bouche en sang, mes yeux s'ouvrent en grand en voyant la lame s'abaisser sur mon ventre, je cris: 

-Je le refuse! C'est hors de question! 

Je ne veux pas en perdre un autre, je ne le supporterais pas. Je ne veux pas mourir en abandonnant Spencer, lui faisant perdre sa famille. 

J'attrape la lame d'une main en grogant sous l'effort, je profite de ce regain d'énergie et de mon autre main, lui décoche un coup de poing au visage. 

Ne s'attendant pas a ce que j'arrête le couteau, il n'a même pas vu le coup venir. Je me redresse, lui tord le poignet, faisant tomber le couteau au sol. Puis je le neutralise. Avec une main, il la porte a mon visage en grommelant des insultes incompréhensible, il essaie de me griffer, je peine a le maintenir immobile. 

J'entends un coup de feu accompagné d'une douleur horrible.

Je me fige, avant de relever la tête, je retiens un hurlement de douleur. 

-Désolé, mais je lui ais juré loyauté. 

Le conducteur, s'est retourné, il a le pistolet précédemment tombé dans notre lutte. Il tir une deuxième fois et cette fois, je ne peux retenir un cri. Je lâche mon adversaire d'une main pour attraper le couteau et le lancer sur le conducteur qui se le prends dans l'épaule, lui faisant lâcher le flingue tandis que je sens mes forces me quitter. 

Mon ennemi se débat en me voyant faiblir, un instinct que je ne connaissais pas, jusqu'ici, se reveil. L'instinct maternelle. 

Je dois ouvrir une portière pour qu'ils sachent que c'est bon, la police n'a aucun visuel sur l'intérieur de la voiture. 

J'étrangle Bill appuyant sur sa gorge de toutes mes forces restantes, ses mouvements faiblissent, avant qu'il ne tombe dans les vappes, je me précipites sur la portière de la luxueuse voiture et l'ouvre. En vain. 

Elle est sécurisé, fermée de l'interieure et de l'extérieure. 

Je jette un coup d'oeil au conducteur qui ricanne malgrès sa douleur visible. 

-Je ne vous laisserez pas vous en tirer aussi facilement. .. 

Bill commence a reprendre ses esprits et je ne vais pas être en mesure de reprendre le dessus sur lui, mon état se dégrade. 

Je tente le tout pour le tout, j'ouvre alors la fenêtre qui, heureusement pour moi, n'ait pas bloqué et je me rut a l'extérieur dans un élan de desespoir, je me laisse tomber sur le sol alors que le cri rageur de Bill retentit.