La cloche a sonné

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Ce matin là lorsque je me suis réveillé j'ai eu le sentiment que c'était fini. Lorsque les cloches du Donjon Rouge sauna à tue-tête cette sensation devena tout de suite réelle et angoissante. J'ai compris que notre roi bien-aimé était mort cette nuit. 

Lorsque je tourne ma tête de l'autre côté je vois mon époux dormir calmement je me souviens de la haine que j'avais pour lui à l'époque et de cette haine est née notre amour. Mais soudainement j'ai peur, j'ai peur que cet amour me survive pas à la guerre de succession qui fait rage. Viserys étant mort tout le monde contesterait la succession de ma mère au trône et j'en étais consciente je savais que probablement je vais devoir me battre contre mon propre mari et cette idée me fendait le cœur. 

Est-ce que je serai capable de tuer Aemond pour protéger ma mère.

 Lorsque son œil s'ouvrât lentement, et que son regard croisât le mien je compris toute ses question s'envola, j'était totalement incapable de faire du mal à Aemond. Il était le seul a réellement me rendre heureuse, pleinement heureuse. Toute mes émotion, mes sensation était décuplé avec lui, avant de tombé amoureuse de lui je me sentait incomplète, le pouvoir, le devoir, la royauté n'était rien par rapport mon amour pour lui. 

Lorsque les lèvres d'Aemond toucha ma peau, je me réveilla de mes songe profond, on se regarda avec une pointe de tristesse. La mort de Viserys, était une tragédie mais nous savions l'un comme l'autre que sa mort allait déclenché une course meurtrier pour le trône de fer. Je savais que je passais surement mes derniers moment de tendresse est d'amour avec mon mari et cela déchirais mon cœur.

Je referma la porte de ma chambre, est partie voir la reine Alicent, elle m'avait fais demandé il y à quelque instant. Lorsque j'entra dans ça chambre, trois gardes était présent dans la pièce, la reine m'adressa un sourire et dis:

- Ma très cher belle fille, notre bon roi a rejoint les dieux cette nuit, dans ces dernier instant de vie il a nommé Eagon héritier de son trône.

- Ma mère à été désigne comme son héritière à ses 14 ans pourquoi Viserys aurait remis en question la succession !

- Les désires de notre défunt Roi ne peuvent être contesté, Eagon sera roi, et toi tu vas bien te tenir et être présente pour ton mari sinon tu le regretteras ardemment !

- Ce qui est déconcertent ma reine c'est que vous pensiez que j'ai peur de vous, ou encore de votre garde rapproché. 

- Si vous n'avez pas peur alors on vous donneras une raison d'avoir peur ! dit - elle en s'approchant très prés de mon visage 

La seconde qui suit je reçus un coup dans le dos tellement puissant que je me retrouvas à terre.

- Si tu ne pli pas le genoux devant Eagon mon fils, on te le fera plié avec la force Nealys !

Quelle heure plus tard la salle du trône était noir de monde chaque personne était venue assisté au couronnement du faux roi, il ne méritais pas sa place sur ce trône. On lui posant la couronne du conquérant sur le crane et dans un élan d'assurance il pointa son épée vers le ciel en signe de puissance.

 On lui posant la couronne du conquérant sur le crane et dans un élan d'assurance il pointa son épée vers le ciel en signe de puissance

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Il était pathétique. J'avais le cœur serré en pensant ma mère qui avait perdue dans la même journée son père bien aimé ainsi que son trône. Tout se qu'on n'avait promis à ma famille était remis en question, mon héritage, ma succession, mon avenir.J 'était peu être pas un homme mais se trône serais le miens et je me battrais pour récupéré se qu'on ma volé. Le trône de fer serais à moi peu importe se que cela me coûte. 

Les murs ce brisa d'un coût, la fumé envahit le sanctuaire, est devant nous ce trouvais Reahnys  sur son dragon Meleys. Je sentit Aemond ce mettre devant moi en signe de protection, inconsciemment je posa un main sur son épaule pour lui montré que je n'avais pas peur. Il déposa ses lèvre sur les miennes. Ce baiser était passionné, nous avions peur, peur d'être séparer. Lorsque ses lèvre quitta les miennes, je me posa mon regard sur Reahnys  puis Meleys pousse un cris sur la reine Alicent et sur le faux roi Eagon II. La reine qui ne fut jamais reparti sur le dos de son dragon, je sais quelle est partie prévenir ma mère que ce qu'il se passe ici. J'ai une certaine envie de rejoindre Reahnys et ma mère mais j'ai la sensation qu'il me reste de chose a accomplir ici, pour l'instant ma place est ici au Donjon Rouge. 

Je me retrouve dans ma chambre regardant l'horizon, j'était totalement perdue dans mes pensés. Je me demandais comment allait mes frères, ma mère, mon père, mais mes pensez était presque tout tournée vers Hydrax cela fessait un moment que je me l'avait pas vue. Il me manquait, ma liberté me manquait depuis un certain temps je n'avais plus le droit de sortir, plus le droit de volé sur Hydrax, la reine avais trop peur que je parte rejoindre l'armée de ma mère. Mes seules moments de bonheur était quand Aemond revenait dans notre chambre nous étions de plus en plus proche et de plus en plus amoureux. Malgrès la guerre qui éclatait en dehors, entre ces 4 murs nous étions les plus heureux du monde. L'horizon se perdait dans mes yeux, la porte de ma chambre s'ouvrit sur mon époux, il me regardât avec un regard inquiet, il s'agenouillât devant moi.

- Nealys comment vas tu ma mère ma dis que le mestre était venue te voir. Et-tu souffrante ? 

- Tout vas bien ne t'inquetes pas, je ne suis pas souffrante. 

- Et tu sur, tu devrais t'allongé le mestre ma dit que tu avais des nausées, il te faut du repos !

- Aemond tout vas bien, je t'assure.

- Nealys je t'en pris allonge toi !

- Aemond tout vas bien !

- Non tu est malade et tu me le cache, c'est ça ta définition du mariage Nealys tu me mens !

- AEMOND je suis enceinte !

LA FLAMME DE DEMAINOù les histoires vivent. Découvrez maintenant