LA FLAMME DE DEMAIN

Conflit fraternelle

Pov Aemond

Je vole déjà depuis plusieurs heures, les grande d'ailes de Vaghar me permette d'aller vite mais j'espère arriver a temp. Nealys est en danger est la dernière fois que je l'ai vue nous nous somme disputer violement, je m'en veut tellement de la l'avoir fait souffrir.  Elle à tellement souffert, a cause de moi, de ma mère et aujourd'hui elle souffre encore pour donnée naissance à notre enfant. Si je perdrai ma femme aujourd'hui je pense que mon âme et le monde n'y survivrais pas, je brulerais chaque centimètre carré de cette terre pour faire souffrir les personne qui mon arracher le bonheur au quelle j'aspirais avec Nealys. Je relevais la tête et vis enfin le château de Peyredragon à quelque lieux devant moi. Je m'accroche plus ferment à Vaghar pour prendre de la vitesse. Plus j'avance, plus je vois mon but arriver, je vais enfin retrouver ma femme. 

Mais la minute d'après Vaghar est moi somme percuter de plein fouet sur le flan gauche et nous nous écrasons au sol. Je suis complètement sonnée, lorsque que je relevé la tête je vis juste un dragon doré cracher des flammes en ma direction. 

D'un reflexe de survie je me couche sur Vaghar pour me protéger des flammes. Une fois les flammes passer je reprend les rênes et Vaghar s'élève dans le ciel, une fois au cœur des nuages. Je vis enfin le dragon et le dragonner qui nous firent affront, personne ne m'empêcheras d'être auprès de ma femme, même pas mon frère. 

On se retrouvas l'un en face de l'autre, Eagon et Sunfyre sont en position défensive prêt a l'attaque. 

- Je ne peut te laisser passer, si tu rejoins le clan de Rheanyra la guerre est perdue. 

- La guerre était déjà perdue le jour au tu est monté sur le trône. Si j'avais sue le jour de ton couronnement, que ton règne m'aurai fait presque perdre Nealys je t'aurais tuer moi même.

- C'est ton jour de chance mon frère, tu as l'occasion d'assouvir ta vengeance. 

- Je ne veut pas te combattre mon frère, je veut rejoindre ma femme et mon enfant. Laisse moi passer !

- Oh tu veux passer, laisse moi réfléchir non DRACARIS !

Le feux de Sunfyre s'écrase dans le cou de Vaghar, un bataille dragon contre dragon commença. Sunfyre écrasa ses griffes acérer sur l'abdomen de Vaghar, se qui lui arrache un cris. Cette mascarade doit prendre fin je n'est pas le temp de me battre, alors je pris de la hauteur et le vitesse. Une fois en haut de tout, je repère enfin mon frère et je décide de plonger à pique sur lui.

- Angōs Vaghar ! 

Vaghar fonce sur Sunfyre, ses griffes se plante dans le buste de l'autre dragon et elle abat ses crocs acérer sur le cou de Synfyre. La minute d'après les cris de douleur du dragon cesse, ses yeux se ferme lentement, Vaghar desserre ses crocs et le dragon tomba à pique sur le sol et mon frère tombas à sa suite. Un bruit sourd arriva à mes oreilles, le corps de mon frère venais de s'écraser au sol, mais ma priorité était ailleurs, je devais rejoindre mon aimée. 

J'arrive enfin dans la cours du château de Peyredragon, je cours aussi vite que mes jambes me le permettent. Une fois arriver dans les couloirs lugubre et sombre du château je vis Deamon, Luc et Jacque devant une porte qui renfermais des cris de douleur . J'essaye d'entrer dans la chambre pour enfin être auprès d'elle, mais une main se posa sur mon épaule et la minute d'après je me retrouvais à terre avec la lèvre déchirer suite à un coup que je vient de prendre. 

- Tu ne t'approcha pas de ma sœur es que tu as compris, dis d'un ton menaçant jacque.

- Tu a perdu se droit, le jours au tu as choisie ta ma famille au lieux de ta femme dis Deamon 

- Je fais des choix discutable je l'accorde, mais ma femme et dans cette chambre entrain de donnée naissance a notre enfant. Je me dois auprès d'elle , de la soutenir, pour tout les fois ou je l'ai pas fait. 

- Tu pense quelle vas te pardonner facilement tes actes, si c'est le cas tu est un sombre idiot. Dis luc

- Elle me le pardonneras jamais mais je me dois d'essayer de mériter son pardon même si je suis pas digne de son amour.

- Laisser le passer ! dis Rheanyra d'une vois autoritaire 

- Mais mere .... dis jacque 

- Mais rien Jacque ! Il est son mari, il à le droit de soutenir sa femme surtout dans un telle moment, me suis je bien fait comprendre ! 

- Merci dis-je doucement 

Rheanyra hoche la tête, je pose ma main sur la poigner près à ouvrit la porte de cette chambre ou les cris de douleurs de Nealys résonnais. Une fois arriver je me précite au chevait de ma femme et lui prend doucement la main. Elle tourne la tête en la direction, son visage est déformer pars la douleur et la fatigue,  je vis une larme coulé sur sa joue, elle essaye de prononcer un mot mais aucun son ne sort de sa bouche. Alors je m'approche doucement : 

- Merci d'être la, prononce t'elle doucement a bout de souffle avec un sourire doux sur le visage  

L'instant d'après, ses paupière se ferme lentement, elle ne réagit plus a mes appelles ni à mon toucher. Es que je viens de perdre ma femme alors que je viens de la retrouver. Vien t'elle de mourir dans mes bras ?