Celui qui, vivait un cauchemard...Partie 2

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Olivier et Benjamin sont arriver à la maison quelques minutes plus tard.

- Ça vas les gars, l' entraînement c' est bien passer ?, demandais-je en faisant un bisous sur la joue à Benjamin.

Je m' approchais d' Olivier qui était un peu en retrait derrière lui.
Je l' embrassais et il me serrait ensuite dans ses bras. Je sentais qu' il était stressé, je le connaissais par cœur. Je le sentais soupirer dans mes bras.

- Ça vas toi ?, lui dis-je en le regardant dans les yeux.

- Maintenant ça vas un peu mieux, me disait-il en souriant, je ne sais pas, je dois être surmené en ce moment !

- T' inquiète pas, ça vas aller, une bonne nuit de sommeil ça vas te faire du bien, lui dis-je en souriant, et puis, je serais avec toi, lui dis-je avec un petit clin d' œil.

- Je t' aime sœurette mais là, je viens de m' imaginer tout les deux au lit et..., aïe !, riait-il.

Je venais de le taper sur son bras.

Je refaisais un petit bisous à Olivier et on allait se poser au salon.

On attendait les autres pour passer à table.
Antoine arriva, suivis de Lucas qui pétait le feu. Salomé et Cindy sont arriver ensuite.
Nous sommes passer à table et le repas fut silencieux, c' était pesant, presque bizarre.

Il est vrai qu' Antoine n' était pas comme d' habitude. Nous, on a penser qu' il était fatiguée de l' entraînement. Mais Olivier, et maintenant Benjamin, commençait à se dire qu' il y avait vraiment un truc.

Nous sommes aller nous coucher.
Avec Olivier on discutait un peu.

- Je m' inquiète mon cœur, t' est bizarre depuis quelques jours, dis-je en me blotissant dans ses bras.

Il me serra fort dans ses bras et me fit un petit bisous sur le front.

- Ne t' inquiète pas, ça vas aller, me dit-il en souriant.

Je le regardais, je m' inquiétais un peu pour mon mari, il n' était pas vraiment dans son assiette. On se disait bonne nuit, on s' embrassait et je me suis endormis rapidement dans ses bras. Lui, ne dormait pas par contre, et Benjamin qui était dans sa chambre, ne dormait pas non plus.
Ils n' arrêtaient pas de penser tous les deux à ce qui se passait, ils se sont envoyer des messages toute la nuit sur leur téléphone, parlant de leurs differentes options.

Le lendemain, les garçons ont été à l' entraînement et sont revenus assez vite, en mode stressé, essouflé, rentrant à toute vitesse dans la maison.
Nous étions avec Sarah dans le salon. Les autres n' étaient pas encore rentrer.

Benjamin et Olivier sont arriver plus déterminés que jamais à nous expliquer ce qu' il se passait.
On ria au début avec Sarah, croyant à une bonne blague mais très vite, on a réaliser que les garçons n' avaient peut-être pas tout imaginés. Il y avait des choses qui avaient en effet été très bizarre la veille avec Antoine par exemple.

Lucas rentrait à toute vitesse de l' entraînement lui aussi et une fois à la maison, il fermait la porte à clefs derrière lui. Il était essoufflé et paniqué.

- Qu' est-ce qui se passe !?, lui demanda Olivier en se levant du canapé.

Benjamin se leva aussi.

- Vous n' allez pas me croire !, vous allez me prendre pour un fou !, disait Lucas en pleine crise limite d' hystérie.

La colloc, celui qui...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant