La colloc, celui qui...

Celui qui, était émerveillé...

Nous sommes aller nous coucher après les deux épisodes de la série.
En effet, avec Lucas, je n' avais en fait quasiment rien vu de la serie, car je ne me souvenais même pas du premier épisode. Quand à lui, c' était pareil, il ne se souvenait plus d' avoir vu le premier en entier.

En fait, on pense très clairement qu' une fois qu' on avait eu finis de discuter et de se poser ensemble, nous n' avions pas mis longtemps à nous endormir.

Et cette nuit là, quand nous sommes aller nous coucher, je n' ai pas mis longtemps à m' endormir non plus.

- Contente de passer la journée avec ton frère demain ?

- Oui carrément !, ça fait longtemps qu' on ne sait pas fait un truc tous les deux, ça vas être sympa !

- Tu s' est ce qu' il a prévu ?

- Du tout non !, je sais qu' on vas aller manger chinois, mais après, on verra bien.

- Oui après tant que vous passez un bon moment.

- Je ne vais pas trop vous manquer demain, monsieur Pavard ?

- Un peu, dit-il en faisant mine de réfléchir.

- Juste un peu !, riais-je.

Il ria aussi et me prit dans ses bras.

- Terriblement me manquer madame Pavard !, mais on se rattrapera le soir ?

- Je serais toute à toi le soir !, lui dis-je en l' embrassant.

- J' espère bien !, me dit-il en souriant.

Nous nous sommes ensuite dit " bonne nuit ", et nous nous sommes endormis l' un dans les bras de l' autre.

Le lendemain, je dormais encore quand Benjamin s' est réveillé. Il est rester un moment à me regarder dormir, puis, il est descendu doucement à la cuisine.

Olivier, toujours aussi matinal, était déjà en train de déjeuner.

- Décidément, t' est toujours le premier !, ria Benjamin.

- C' est vrai que c' est rare que je ne sois pas le premier, mis à part pendant les vacances !, ria-t-il. Candice dort encore ?

- Oui !, elle doit être fatiguée avec la nuit dernière. Elle était tellement bien, je n' ai pas voulu la réveiller.

- T' à raison, laisse la se reposer. Si elle dort c' est qu' elle en a besoin.

Et oui, il savait que j' en avais besoin, je n' étais plus toute seule à présent. Une partie de moi travaillait pour deux, plus d' effort, plus de besoin de repos.

Benjamin se servit un café et s' installa avec Olivier. Marley qui était dehors, rentrait pour lui dire bonjour.

- Ça vas ma fifille !, lui dit-il en lui carressant la tête. Elle est descendus encore avec toi ?

Et oui, Marley était vraiment un membre à part entière de notre famille.

- Comme d' ab !, pourtant c' est pas faute de lui dire de rester là haut ou de la faire descendre avec quelqu' un d' autre !

- Oui !, elle t' à adopté !, elle ne suit que toi, dit-il en carressant Marley.

Celle-ci se posa à ses pieds.
Ils se sont mis à discuter tous les deux et au fur et à mesure, tout le monde se levait et descendait à la cuisine.
Même Sarah était déjà descendu. J' était la seule encore au lit.