Celui qui, nous perdaient dans les bois...

120 8 19
                                    

Les vacances à la Réunion arrivait à sa fin.

Nous avons repris l' avion le dimanche soir, pour voyager de nuit.

Nous sommes rentrer le lundi, très tôt le matin, sur Paris.

Nous sommes rentrer à la maison en taxi. Sortis les valises, et les posais au salon.

On s' installa à la cuisine pour prendre un petit déjeuner tous ensembles.
Puis, avec les filles, nous avons décider de vider et ranger les valises, pendant que les garçons allaient chercher Marley chez Xavier.

Dans quelques jours, nous allions refaire les valises avec les garçons, pour leur départ en camp.
En effet, une série de match pour des sélections d' un grand événements allait avoir lieu.

Ils allaient partir dix jours, coupés du monde, de leur famille. Enfermer avec toute l' équipe au camp d' entraînement.

Nous pouvions assister aux matchs bien sûr, et les voirs un moment après le match, mais sinon, pas plus de possibilités d' être avec eux.

On avait aider Sarah à ranger leurs valises, qu' elle se repose, parce qu' avec le voyage, elle était un peu fatiguée.

Une fois terminer, nous sommes redescendus au salon, pour attendre les garçons.
Sarah est rester allonger sur son lit.
Nous sommes descendus avec Salomé et Cindy.

- Qui veut un café ?, demanda Cindy.

- Je veux bien s' il te plaît !, lui dis-je.

- Moi aussi !, dit Salomé.

Cindy prépara les cafés et les emmenait sur la table basse.

Les garçons sont rentrer environ une heure plus tard. On était dans le salon avec les filles à discuter.

- Coucou les filles !, nous lança Olivier en entrant.

- Regardez qui est là !, nous dit Antoine en laissant passer Marley.

Celle-ci arrivait vers nous en remuant la queue, elle nous faisait la fête, on l'a caressait.

- Elle à été sage avec Xavier ?, leur demandais-je.

- Elle a été adorable !, nous dit Benjamin.

- Oui !, apparemment, zéro bêtises, pas de pipi à la maison ou au resto, expliqua Lucas.

- Et bien ma fifille, disait Cindy en la caressant. T' à intérêt à être sage aussi à la maison.

On ria.

- Ma femme n' est pas là ?, demanda Olivier.

- Elle était un peu fatiguée, elle se repose dans la chambre, lui dis-je.

- On a vider vos valises, qu' elle reste tranquille !, lui dit Salomé.

- Merci les filles, je vais aller la voire !

Il monta rejoindre Sarah.

Benjamin venait me prendre dans ses bras, et s' asseyait près de moi sur le canapé.

- Vous voulez faire quoi cette aprem ?, lança Lucas.

- Pourquoi on irais pas se balader ?, proposait Antoine, ça fait longtemps qu' on dit qu' on veut aller dans la forêt, vous savez celle qui n' est pas loin du camp d' ailleurs ?, elle doit y être accolée je pense !

- Oui pourquoi pas ?, y' à des chemins tracés au moins !, lança Salomé.

- Ben je pense oui !, y' à de nombreuses personnes qui s' y promènent, dit Antoine.

La colloc, celui qui...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant