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Il est beau. Très beau.

Je me fais la remarque, que se n'est qu'un hasard, mais il est assis à la table qui m'a était indiquer.

Je me dirige d'un pas, très, lent vers lui, avec une boule au ventre grandissante. Quand mes talons commencent à claquer dans sa direction, il relève la tête.

Il me regard. avec un regard indescriptible. Je sais pas ce que ça veut dire, mais cela suffit à me stresser encore plus.

J'arrive, enfin, devant cet table avec le souffle court, comme si j'avais couru pour l'atteindre.

- Salut.

Je suis tellement gênée.

Chems - Ça va * sourire* ?

Je m'installe sur ma chaise, après avoir poser mon manteau sur le dossier.

- Oui, et toi ?

Chems - Tranquille.

- T'a déjà commander ?

Chems - Non, je t'attendais.

- Ah, merci.

Chems - T'inquiète, vas-y prend la carte.

Je regarde la carte et sans vraiment la regarder, car des millions de pensées me traverse l'esprit. Mais après m'être concentré, nous avons commander, j'ai pris un salade César, et lui un salade avec une burrata.

Puis, on s'est m'y à se regarder dans les yeux,  e c'est la première fois que je ressens un tel malaise, en sa présence. Mais, je fini par briser le silence.

- On va devoir en parler, hein ?

Chems - Je crois bien, que oui *rire*.

Il veut me faire craquer, purée.

- Je suis vraiment désolé, Chems.

Chems - Il s'est passé quoi Awa ? On était bien, et du jour au lendemain, plus rien.

- *soupire* Je sais même pas, comment m'exprimer.

Chems - T'inquiète, je suis pas là pour te mettre la pression ou quoi, prend le temps que tu veut.

- Disons que j'ai du mal à faire confiance aux hommes, mais j'ai pas vécu de rupture amoureuse difficile, ou quoi que ce soit. Mais, je sais pas, j'y arrive pas. Mais, bizarrement avec toi, ça a accroché directement, je me suis senti à l'aise et apaisé. Et, c'est ça qui m'a fais peur, et qui me fais toujours peur, d'ailleurs. Et, ça m'a stopper directement, parce que si on continuer comme ça, je sais pas comment ça se serait passé.

Chems - T'a peur de quoi, Awa ?

- De m'attacher à toi, et d'en souffrir par la suite.

Chems - Qui te dit que tu souffriras ?

- Ça se passe comme ça avec tout le monde, et pourquoi avec moi ça marcherai ?

Chems - Parce que t'es pas tout le monde, Awa, et moi non plus. Mais,  tu m'a pas dit ce que tu voulait toi.

- Je sais pas.

Chems - Tu le sais, mais t'a peur de l'avouer.

Je le regarde perplexe.

Chems - Qu'est-ce que tu veut vraiment, Awa ?

La façon dont il dit mon prénom, purée.

- Continuer ?

Chems - Continuer quoi, et pourquoi ?

- Je veux continuer de parler avec toi,  par peur de regrettais si j'arrête. Et toi, je t'ai jamais demander, mais qu'est-ce que tu veut, Chems ?

Lui.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant