ROMI Mon Amour (Histoire en cours)

Épi.4

Lamine n’aura pas le temps de terminer sa phrase que Cheikh lui répond désintéresser

~Du passer! C’est finit Romi est parti elle a choisit de partir. Je l’ai appeler plus de cent fois la nuit passer elle ne veut plus me parler. Pourtant j’ai voulu tout lui expliquer.

~Cheikh Romi ne va pas bien, elle est

Rétorque son ami mais Cheikh ne voulais rien entendre il se lève et regarde Lamine en disant

~Je veux dormir s’il te plaît ma tête chauffe.

Le voilà qui disparaît dans sa chambre. Lamine lui demande de venir fermer la porte derrière lui ce qu’il fera avant d’aller se coucher. Voici le lundi venue, mon mari se présente à la justice en priant que je vienne pour qu’il puisse recoller les morceaux. IL ne me verra pas quand il verra l’acte de divorce poser sur la table devant lui, il regarde du côté de ma signature vide. Un circuit se brise dans sa tête l’ancien Cheikh était de retour il se dira pendant qu’il signait les papiers

~Tu n’a même pas fait l’effort de venir. Ce mariage est vraiment fini. Désolé pour toi mais je ne vais plus te courir après.

Le document signé il se retrouve devant Lamine qui le cherchais partout. Dès que ces yeux se pose sur mon mari il lui demande

~J’espère que tu n’a pas signé les papiers depuis ce matin j’essaie de te joindre. Romi est

~Romi rien du tout ne prononce plus jamais son prénom en ma présence Lamine. Au-revoir.

Dira-t-il avant de s’en aller sans vouloir rien entendre de son ami qui le poursuit pour l’informer de mon état de santé. Avant que Lamine n’arrive à lui Cheikh était déjà parti sur sa moto. Le président Diouf en avait marre d’attendre il demande à sa fille de ranger ces affaires pour rejoindre son mari. Ayla ne se fait pas prier. À l’arrivée de Cheikh Ayla l’attendait devant sa porte valise à la main. Sans grande cérémonies a ces côtés ces tantes qui voulais finir le rituel de mariage. IL n’avait pas le choix sa mère faisait partie du cortège, ne voulant pas humilier sa maman et la première Dame il laissera rentrer le groupe de femmes chez lui. L’une des dames dira

~Mon fils c’est la cérémonie du

Cheikh coupe la parole à la bonne dame en disant

~Ne vous fatiguer pas s’il vous plaît elle n’est plus vierge rentrer chez vous et épargner moi vos bruits fermés la porte en partant.

IL disparaît dans sa chambre sans laisser de suite. Les femmes quitterons l’appartement en laissant Ayla derrière elle. Maame était inquiète Adja le remarque et lui demande

~Qui y’a-t-il ma chère

Maame répond en regardant inquiète l’immeuble de son fils

~Cheikh n’est pas bien, tu devrais ramener ta fille a la maison. J’ai peur qu’il lui fasse du mal.

Adja fera un sourire malsain à Maame avant de lui répondre

~Qu’il la frappe où pas Ayla est une femme mariée c’est à elle de savoir gérer son mari maintenant de plus qu’elle n’a plus de coépouse. Elle doit apprendre à regagner le cœur de Cheikh.

Maame soupire en se disant dans la tête

~Alors Kader à vraiment mises sa menace à exécution. Mon fils souffre je le sais. IL était si joyeux avec la petite. Tout ça c’est Babacar qu’elle idée de lui coller un bébé. J’espère que Cheikh n’est pas au courant. Dans le cas contraire tu va te retrouver avec un seul Fils Babacar Gueye.

Le lendemain matin Mariem sera informé de mon état de santé, quand elle arrive à l’hôpital je dormais encore. C’est sa mère qui lui fera toute les mises à jour.

~Je savais que Coumba déteste Romi mais a ce point ?

Demande ma copine toute choquer. Le choque de Coumba sera plus grande que celui de ces filles quand elles verra l’état de son visage. Ma mère et Amina ne l’avais pas louper. Elle pouvait difficilement bouger sa bouche, son corps encore moins ces yeux. Papa ne voulais savoir qu’une seul chose. Qu’est ce que Coumba m’avait encore fait pour que ma mère et tante Amina lui tombe dessus de façon aussi violente. Aïda et les filles de ma marâtre en était sûr ma mère avait découvert leur faux compte. Pendant des jours Mariem, Amina et maman vont se relayer a mon chevet. Lamine essayait en vain de joindre Cheikh qui était au abonnées absent.

Une situation qui déplaît de plus en plus à son meilleur ami. Seyna qui était devenue la chouchou de Babacar n’avait plus de freins elle jouait les épouses dévoués du matin au soir. Rama qui ne désespère pas de la voir quitter son mariage aura une bonne idée. Le jeudi après midi je me réveille enfin assise devant moi, ma maman qui piquait le sommeil avec sa tête poser sur la table. Je voulais parler mais ma voix ne sortait pas. Yazid était bien accroché à moi.