Epi.5

313 45 3
                                    

Hurle Seyna étonner.

~Oui le pire c’est qu’ils ne veulent même pas de notre merci.

~Bon leurs épouses ne nous aiment pas tu le sais bien.

~Prend cet oranges ça te fera du bien, Lamine et Cheikh ne veulent pas de nous chez eux. Même pas pour un petit merci.

Coumba était mal en point, mais elle trouvait les mots justes pour m’insulter. Selon elle je serai l’auteur et le commanditaire spirituel de leurs accidents. Nos parents avaient qu’une requête de me voir avec Cheikh. Leurs petits fils avait droit a un père je vais céder a leur demande mais pas pour autant donner de fausses espoirs a Cheikh. 

5 mois plus tard

C’était l’anniversaire de Faï, mon petit prince et Samir. Mariem avais tout préparer, elle qui avait toujours voulue être célèbre. Tout nos réseaux sociaux seront inonder avec les photos de nos enfants. Une Stratégie de Mariem qui nous rendra riche en une seul journée. C’était les premières Photos de nos enfants pour le grand public.

Aux yeux de tout le monde Cheikh et moi étions de nouveau amoureux mais la réalité était autre chose. On élevait un enfant c’est tout. Je dormais dans la même chambre que mon fils et lui dans sa chambre. J’allais bientôt entamer ma deuxième année de formation et a la clinique j’avais besoins de me concentrer.

Il profite de la fête tout comme son père mais l’humeur de mon beau-père change quand il vit Kader rentrer dans la maison de son fils avec Djamal. Le petit fils du nouveau chef de leur parties politiques. Kader avait pris le parrainage de ce dernier et Babacar le savais ce n’était pas un hasard de le voir a l’anniversaire de mon fils. Maame n’en croyait pas ces yeux ce garçon si discret qui ne faisait jamais son apparition se tenais tout sourire devant tout le monde.

Sa présence et la présentation chaleureuse que Kader avais prit soins de faires ne cachait rien de bon. Lamine en se tournant remarque que l’inviter n’avais pas lâcher ma mains après m’avoir saluer. Cheikh ne laisse rien fuiter, sa colère intérieure pouvais facilement se faire voir. Il retient son souffle et se dirige vers nous. Tout en faisant semblant de le saluer mon ex mari s’assure de voir ces doigts loin de ma main.

Une main que Djamal serrait comme ci sa vie en dépendait. Faï et Samir jouais avec Samba les deux petits garçons faisais le bonheur de mon père. En voyant Djamal mon père ne se doutais pas du plan de Kader. Bizarrement Djamal me paraissait très sympathique et Faï ne l’avais pas rejeter du premier regard.

Dans la cuisine pour se prendre un verre d’eau cheikh me retrouve entrain de préparer le repas des enfants. Ayant remarqué que Djamal nous regardais il me murmure dans le creux de l’oreille

~Calme toi on a des téléspectateurs.

Dira t-il en se collant a moi il passe ces mains autour de moi, avant de coller ces lèvres au mienne.

ROMI Mon Amour (Histoire en cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant