ROMI Mon Amour (Histoire en cours)

Chapitre 9. Épi.1

Un sourire m’a échappé, Mariem comprends vite elle me prend par la main en disant

~Ne fait pas ça.

Lamine et Cheikh se regarde ne comprenant rien, ce qui sortira de ma bouche brisera a jamais mon mariage.

~J’ai compris, je ne vais pas beaucoup parler. Demain se sera officiel nous serons divorcés. Ah félicitations tu aura un autre enfant. Je suis enceinte.

Je quitte l’appartement accompagné de ma meilleur amie qui ne voulais pas le croire. Cheikh demande à Lamine

~Elle est enceinte ?

~Je n’en savais rien Mariem ne m’a rien dit. Cours. Va lui parler.

Devant le portail de l’immeuble Mariem me demande énerver

~Comment peu tu laisser ton mari a une autre aussi facilement.

~Cheikh aime Ayla !

Cheikh qui s’était empressés de venir me rattraper restera bloqué devant la porte quand cette phrase sort de ma bouche. Mariem me demande encore plus énerver

~Tu est folle Cheikh t’aime il l’a prouver a maintes reprises.

~Certes mais il aime aussi cette fille. Je l’ai compris quand tu a posé ton sac et attaché tes cheveux en arrière. IL a reculé un peu et c’est mise devant elle. IL ne l’a pas fait exprès. C’était un réflexe. C’est ce que ta mère faisait quand elle voulait me protéger de Coumba. Cheikh, cette femme et moi je ne veux pas d’un foyer polygamique pour mon enfant.

~Tu va vraiment divorcer Romi ?

~Oui il est temps pour moi de penser à mon bien être Mariem.

~Mais Romi ça me fait mal de te voir perdre contre cette chose.

~Mariem je suis enceinte.

C’est là qu’elle réalise mon point de vue. Mariem attrape sa tête en riant. Elle me serre dans ces bras les larmes aux yeux

~Merde avec tout ces problèmes j’ai oublier l’essentiel parton d’ici. Mon Dieu allons, merde ont va avoir un bébé toute les deux. Le bébé est toujours là il c’est accrocher merde ont va être maman

Cheikh était comme bloquer devant la porte il ne pouvait pas se faire à l’idée que notre mariage était finit. IL pouvait encore moins accepter le fait qu’il était amoureux de cette Ayla. Quand Lamine le rejoint nous étions déjà parti. Mon mari reviens à lui et cours me rattraper devant la porte mais rien j’étais déjà partie. Assis dans la voiture de son pote, Lamine lui raconte mon périple de ces dernières semaines. C’était enfin clair pour mon mari aussi tout était finit. IL avoue enfin a son ami

~Romi a raison j’aime encore Ayla certes mais je l’aime aussi.

~Tu l’aime où tu te sent responsables d’elle Cheikh. Aimer Romi et Ayla en même temps c’est impossible. Tu connais le passer de Romi elle n’acceptera jamais une coépouse et elle aura raison.

~Je sais.

~Cheikh cette fois-ci je ne pourrai pas t’aider. C’est a toi de décider de ce que tu veux mais fait le vite.

~Il y’a un autre problème ?

~Oui. Kader depuis la nuit où on était aller chez lui pour demander pardon a Romi j’ai des soupçons sur lui.

~De quoi tu parles ? Sois un peu plus clair s’il te plaît.

~D’où sort t’il les audio de ton oncle et ta cousine ? J’ai bien regarder la date des transferts de ces audio quand ont les écoutais. Ils datait d’il y a 3 mois.

~Quoi ? Tu en est sûre ?

~Oui. Pourquoi il ne t’a pas prévenue du piège de ton père ? IL a laisser faire pour venir jouer les donneurs de leçons. IL était trop a l’aise quand il parlait ça ne me plaît pas. De l’autre côté qu’est ce qu’il y gagne ?

Cheikh était également perplexe. De mon côté je retourne à l’hôpital le coucher dans mon lit avec une maman qui était prête à me frapper elle me dira

~Hé tu porte mon petit fils si tu recommence une telle folie ça va mal se finir Romi. Tu dois rester coucher. C’est un miracle que se bébé soit rester à sa place, ne lui complique plus la tâche.

Je ferai juste un petit oui de la tête en mettant ma mains sur mon ventre. J’étais enceinte j’étais heureuse le reste ne m’intéressait plus. Assis en classe Cheikh ne pouvait pas se concentrer sur les cours. Brima rentre dans la classe en furie, elle s’assoit devant lui en lui disant sur un ton très clair

~Tu m’a dit de laisser Romi je l’ai fait mais Ayla seulement je ne vais pas la louper. Si tu t’en mêle je ne vais pas me laisser faire.