ROMI Mon Amour (Histoire en cours)

Epi.5

Étonner je lui répond aussi avec une salutations.

~Ne sois pas étonner. J’ai entre temps trouver ma moitier.

~ Je suis heureuse pour toi. Comment tu va ?

~Bien. Mes enfants veulent manger mes cheveux mais bref. Et toi et la grossesse ?

~Tu est au courant ?

~Oui, Babacar Gueye l’a annoncer a la réunion politique hier mon beau-père est rentrer tout énerver. Félicitations.

~Eh Allah !

~Ne t’en fais pas. Tu aime cheikh et il t’aime aussi. Je savais que ce n’étais qu’une question de temps pour vous deux.

Je ne pouvait pas broncher. Qu’est-ce que j’allais dire? Non j’ai juste sauter sur mon ex mari a la première occasion? Nous allons faire les courses en bavardages. Une fois de retour ma mère fais a manger au petit et moi je cours me cacher loin de la cuisine. L’odeur me dérangeait du bout de l’œil je verrai cheikh me tendre du jus de citron pour calmer ma nausée.

Il me demande de le suivre, je refuse. D’un geste doux il me soulève en collant mon visage contre son torses. Il m’emmène dans le garage ou était sa voiture.  Il me dépose a l’intérieur et  c’était finie plus d’odeur de bouffe.

~Reste ici le temps qu’il faut prend ton chargeur au moins tu sera occupé. La prochaine fois viens dans le garage. Ça va t’aider.

Dira-t-il avant de s’en aller. J’avais maintenant trouver un bon coins de la maison pour échapper a mes nausées. Alors que je m’étais endormie a l’arrière de la voiture. J’entends le moteur de la voiture de Djamal au téléphone étonner je me réveille, je voulait d’abord lui signaler que j’étais dans la voiture mais il semblait discuter avec son père et ce que j’entends me choque. À l’aise et se croyant seul, son téléphone sur haut parleur, il finira par montrer son vrai visage.

~Franchement papa, j’en ai marre de tout ce cinéma.

~Tu n’a pas le choix.

Lui répond son père à l’autre bout du fil, il ne semblait pas le même. Sa voix était différent. J’avais l’impression d’entendre une autre personne.

~Ce Kader ne sers a rien. Laisse moi me trouver une bonne meuf ailleurs.

~Ecoute cette fille attire la foule elle est aimer et ça pourrait nous rapporter des voix aux prochaines élections.

~J’en ai marre de devoir supporter ce Cheikh. J’ai bien envie de le tabasser sérieux. Elle n’est pas mal aussi mais merde qui veut se coltiner une femme divorcer avec deux enfants pouf.

~Attend la fin des élections et tu pourra t’en débarrasser.

~N’importe quoi tu connais grand-père. Il va vouloir que je l’épouse. Quand elle n’avais que Faï ça ne me gênait pas mais de gosse non merci. Trouve un moyen de convaincre le vieux.

~Attend la fin des élections. Elle n’est pas moche au contraire elle est très belle alors ne te plaint pas c’est pour ton bien.

~Toi tu n’a pas vu l’horrible cicatrice qu’elle a sur le ventre. Je suis dégoûté ça ma coûter tout mon courage pour la toucher.

~Cicatrices ?

~Oui. Dégueulasse qui voudrais se montrer en public avec une monstruosité pareille. Imagine qu’elle fasse une erreur et que le regard des gens tombe sur ça  la honte. Mes amies vont se foutre de moi.

Son père soupire et lui demande

~Tu sais le travail que j’ai investit dans cette prochaine campagne? Babacar Gueye a déjà prit une avance sur moi.

~Mais je m’en fou tu sais la politique ne me dit rien.

~C’est ça qui t’a nourrit ingrat.

~Trouve une autre fille je vais la quitter. Si je doit supporté se Cheikh une journée de plus c’est mort.

Tout en parlant il monte dans sa voiture et sors. Le gardiens ferme la porte derrière lui. Je m’étais recoucher sur la banquette arrière comme si de rien n’était. Mon cœur c’était briser en mille morceaux. Dans ma tête je me disais

~Allah si je meurt un jour ne me ramène plus s’il te plaît !

Cheikh était étonner de le voir partir, il viendra me trouver les yeux fermer comme si je dormais. Un sourire lui échappe il dira a voix basse.

~Lève toi viens manger. Pourquoi tu n’as pas fricoter avec ton petit politicien de quartier. Il est fâcher avec toi ?

~Je viens de me réveiller. Aucune envie de parler

Cheikh s’arrête une minute et me demande très sérieux

~Qu’est-ce qu’il t’a fait Romi ?

~Rien il ne m’a même pas remarquer.