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POV Jessica:

-je veux vous accompagnez. Dis-je à l'ambulancier.

-qui est elle pour vous? Me dit elle en prenant son bloc note.

-sa compagne. Lui dis je sans une once de doute

-très bien vous pouvez nous suivre.

je ne sais pas réellement pourquoi j'ai dit ça, après tous je me devais de n'être plus rien pour elle. mais la laisser seul m'étais impensable, je lui devais bien cela après ce que je lui avais fait subir et tous les mots blessant que je lui avait dit il y a plusieurs heure de cela. au fond de moi je savais que tous cela n'étais que des excuses pour être au près d'elle. je n'ai pas réussi a la chasser de mes pensais pas même un seul seconde depuis son départ. les gens diront que c'est un peu trop a l'eau de rose mais c'est la réalité des choses. je ne la veux pas loin de moi et encore moins mal sans que je sois la pour ne serait ce que tenir sa main.

alors je monta dans cette ambulance et je regarda les battement de son coeur, il allait trop doucement et les ambulanciers lui injecter toute sorte de produit. puis son coeur arrêta de battre. une larmes coula le long de ma joue. j'étais dans un autre monde, comme si mon esprit me permettais de ne pas entendre les bruit autour et pouvoir me concentrais sur la seule personne que je n'avais jamais aimé. elle était la allonger. elle ne bougeait plus, on pourrait même dire quelle dormait paisiblement comme toute les fois ou je lai regarder dormir. mais la non je n'étais pas heureuse de la voir dormir.

-je t'en supplie mon amour, bats toi. murmurais je doucement.

elle fut choquer une première fois, puis une deuxième

j'avais toujours l'espoir quelle se réveille et quelle me regarde. qu'elle me fait ce genre de blague qui la caractérisais tellement.

la troisième son coeur repris un pouls toujours aussi lent mais elle était plus stable. comme si tous ce temps j'avais cesser de respirer. mon corps me donne un nouveau souffle, un nouvelle espoir. mes larmes avait ruisseler sur mon visage défigurer pas la triste et le désespoir.

Quand on arriva, elle fut prise en charge à la seconde comme si on attendait son arriver. ce qui ne voulait dire rien de bon. on m'empêcha d'aller plus loin que les urgences.

- je veux vous suivre, on parle de ma femme la.

- madame le temps que je perds avec vous, je le perds avec votre femme, écouter un infirmier viendra toute les heures, vous tenir au courant. je vous promet qu'on mettra tous en oeuvres pour la sauver. pendant ce temps vous attendez dans la salle d'attente des urgences.

-d'accord docteur, sauver ma femme.

il parti avec elle et mon coeur se resserra. j'avais peur que se soit la dernier fois que je vois son si beau visage encore en vie...

1 heure plus tard

-bon je vais être directe parce que je dois aller rejoindre le docteur au bloc. votre femme a la maladie du coeur briser aussi appeler tako tsubo c'est une maladie du muscle cardiaque du coup le coeur, une partie du ventricule gauche cesse de se contracter correctement et on a remarquer une fissure a se même niveau. nous allons l'opérer et essayer de le réparer. dans le pire des cas nous allons faire une demande pour un coeur et nous allons attendre par la suite. vous avez des questions ?

- qu'est ce que qui a provoquer cela ?

-un stress émotionnel ou une douleur intense qu'il soit émotionnel ou physique.

je ne dis plus rien et laissa des larmes couler le long de mes joues. mon coeur ce brisa, je l'avais briser en la quittant aujourd'hui, si seulement j'avais sue,

-madame nous la sauverons ne vous inquiète pas pour cela. je dois vous laisser.

- ah oui, j'ai oublié. elle vous a demandez quand elle était consciente.

après ces mots il repartie. mon coeur gonfla, elle m'avait demander. moi la personne qui venait de l'abandonner lâchement. j'allais rester a ces cotes tous le temps qu'il faudrais pour quelle me pardonne. comment avais je pue pensais que la quitter était une option ? mon coeur était lourd de regret , d'amertume et de tristesse.

Je ne sais pour quelle raison mais je pris mon téléphone, je voulais lui écrire, un poème
Je suis prof de français alors ne douter pas de mets capacité.

De Jessica à Justine:

« gout de vie,
quand mes lèvres se pose sur les tiennes,
Elles m'appartiennent,
Je refuse qu'elle me fuit.
Comme la lune et le soleil,
Je rêve de notre éclipse ,
De notre renouveau,
Que les cendres se transforme et flammes,
Renaissons de nos cendres ,
Comme ce Fenix sur ta peau.
Respire,
Je t'en supplie ne t'arrête jamais,
Laisse ton coeur battre,
Encore et encore,
Qui s'affole si il le désir,
Mais qu'il ne s'arrête jamais,
Mon amour....

Je t'aime Justine, reviens moi  je te supplie. »

Voilà il ne me reste plus cas attendre
Qu'elle se réveille ou qu'on vienne me donne des nouvelles d'elle...

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