L'année commence mal pour Minho quand il découvre sa crush embrasser un autre le jour du nouvel an de 89.
Heureusement pour lui, Jisung se dévoue à l'aider à récupérer cette fille. Mais dans un jeu de manipulation ,tout devient difficile quand une...
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Seungmin était tranquillement en train de réviser pour l’examen de fin d’année qui arrive bientôt. Mais il dû arrêter quand sa mère l’avait appelé dans la cuisine. Seungmin était plutôt content qu’elle l’appelle car cela voulait dire qu’ils allaient préparer des gâteaux ensemble.
Lorsqu'il était descendu en cuisine, Madame Kim l’attendait bel et bien en train de sortir toute sorte d'instruments de cuisine et disposer une multitude d'ingrédients sur le plan de travail.
“ Aller, viens te changer les idées.Tu passes tes journées dans ta chambre à réviser.
– Tu as raison. Dit Seungmin en se lavant les mains avant de se mettre à suivre les instructions de sa mère. “
Seungmin et sa mère était plutôt complice en réalité. En particulier quand il n’y avait pas son père. Seungmin n’osait même pas se l’avouait à lui-même mais il avait presque peur de son père et n’était à l’inverse, pas si proche de lui.
Mais ce soir, son père n’était pas encore rentré. Il devait normalement finir tard ce soir. C’est de là que sa mère lui avait proposé d’en profiter pour faire des gâteaux ensemble.
Alors que Seungmin était en train de mélanger le sucre et le beurre quand sa mère lui demanda:
“ Alors les amours ? “
Seungmin paniqua légèrement, quitte à faire un faux mouvement et tacher son tablier avec de la pâte à gâteaux.
“Fait attention. Madame Kim ricana doucement en essayant le tablier de son fils. Je soupçonne que tu as des petites histoires toi.
– Euh mais…
– Je suis ta mère. Tu peux tout me dire.
- Mais j’ai rien à te dire. Mentit Seungmin avec un grand sourire.
– Et ta petite fugue par la fenêtre, t’as rien à me dire là dessus ? Seungmin resta sans voix. Fait pas cette tête. T’étais pas très discret. D’ailleurs j’ai eu très peur quand tu as sauté.
– Mais… pourquoi tu m’as pas gronder ? Pourquoi t’as rien fait ? Enfin , je veux dire, ton fils a fugué devant tes yeux ?
– En effet, dit comme ça. Elle leva les yeux au ciel avant de reprendre un air un peu plus sérieux. Tu sais, quand je t'ai vu partir j’ai su que je ne devais rien faire et que tu savais parfaitement ce que tu faisais. Bon j’avoue j’aurai du te dire quelques mots pour le saut. Franchement t’aurais pu partir normalement par la porte d’entrée. Elle souffla un bon coup. Tu vas trouver ça débile mais j’ai eu comme ce petit instinct maternel qui m’a dit de te laisser faire.
