Chapitre 02

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Le carrosse nous dépose devant la demeure de Lady Danbury, qui nous attendait déjà avec sa canne

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Le carrosse nous dépose devant la demeure de Lady Danbury, qui nous attendait déjà avec sa canne.

Malheureusement, en descendant du carrosse, j'ai failli tomber à cause du corset serré au-dessous de ma robe.

J'arrive à peine à parler, mais j'essaie de garder une attitude digne.

Mon père s'approche de Lady Danbury, qui lui fait une révérence.

La conversation commence avec courtoisie, comme une véritable lady anglaise

Lady Danbury -Bienvenue, cher Ambassadeur. Je suis ravie de vous accueillir dans ma demeure. Votre présence ajoute une touche d'élégance à cette soirée.

Père - Je vous remercie, Lady Danbury, pour votre aimable invitation. C'est un honneur d'être ici ce soir. Permettez-moi de vous présenter ma fille Reyah Zuleyha Ali

Lady Danbury se tourne vers moi, et d'un ton bienveillant, elle s'adresse à moi - Enchantée de faire votre connaissance, Mademoiselle Reyah. Vous êtes resplendissante ce soir dans votre magnifique robe. J'espère que vous apprécierez cette soirée parmi les membres de la haute société de Londres.

Je lui réponds avec une légère inclinaison de la tête

-Merci, Lady Danbury, pour votre aimable accueil. Je suis honorée d'être ici ce soir et impatiente de faire la connaissance des membres éminents de la société anglaise.

Lady Danbury sourit en retour -Je suis certaine que vous vous intégrerez parfaitement à notre cercle. Venez, permettez-moi de vous présenter quelques-unes de nos invitées les plus distinguées.

Nous entamons alors une promenade dans la demeure de Lady Danbury

Malgré mes réticences initiales, je m'efforce de m'adapter à ce nouvel environnement et d'adopter les manières et la courtoisie attendues d'une jeune lady de l'époque.

Alors que nous marchions derrière Lady Danbury, je me permettais de me plaindre à voix basse à mon père, même en présence de cette dame de la haute société.

Je me plaignais de ma robe inconfortable et du fait que je n'arrivais pas à marcher convenablement.

M'adressant à mon père d'une voix légèrement agacée, mais toujours respectueuse

-Baba je vous en prie, cette robe est un véritable supplice. Je me sens comme si j'étais enchaînée et je ne peux même pas marcher correctement. Pourquoi devrais-je me conformer à ces normes étouffantes ?

Lady Danbury, qui était à quelques pas devant nous, ne put s'empêcher d'entendre ma plainte.

Elle se tourna vers moi avec un sourire narquois, ne cachant pas son penchant pour les remarques cinglantes.

L'orgueil d'Anthony Bridgerton : L'amour de Reyah Où les histoires vivent. Découvrez maintenant