Et si KAnthony était Reyanthony ?
Vous êtes plongé dans les années 1800 aux 19em siècle dans la société haute londonienne avec des touches de fleurs parfumé et des robes sentant l'époque dans le règne de la reine charlotte , une romance épique au c...
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Ayant perdu tout espoir je me sentais complètement perdue, je me mis à crier de plus belle.
Mes sanglots résonnaient dans la forêt obscure, tel ceux d'un enfant égaré.
Soudain, j'entendis une voix familière m'appeler
- Miss Reyah! Miss Reyah, êtes-vous là ?
Je répondis précipitamment, espérant que ce soit bien Anthony Bridgerton.
-JE SUIS LÀ ! Est-ce vous, Lord Bridgerton ?
Toutefois, il ne répondit pas, ce qui fit naître un sentiment de désespoir en moi .
Je commençai à croire que ce n'était pas lui, ou que s'il l'était, il ne viendrait pas à mon secours.
Je me retrouvai seule dans l'obscurité, pleurant à chaudes larmes
C'est alors que je sentis une main se poser sur ma taille, ce qui m'a fait pousser un cri de terreur.
Me retournant brusquement, je me trouvai face à Anthony.
Anthony - Vous pleurez ? Me dit-il, constatant les larmes qui coulaient toujours sur mon visage.
Je tourna dos à lui pour essuyer mes larmes au plus vite, déclarant d'une voix tremblante
- Je ne vous permets pas de me voir dans cet état, Monsieur.
Anthony répondit d'un ton reprocheur - Il est trop tard. Pourquoi avez-vous fui ? Vous pensiez pouvoir vous aventurer seule dans la forêt et tout maîtriser. Votre père est inquiet et je me retrouve responsable de tout cela, car vous avez cru être forte !
J'avais perdu toute capacité de parole et de défense. J'étais à bout de force.
-Ramenez-moi chez moi, Monsieur Bridgerton
Anthony, réalisant soudain l'ampleur de la situation, me regarda un instant, ne sachant que dire.
Finalement, il déclara
Anthony - J'ai agi de manière immature en jouant à ce jeu avec vous. Je me rends compte maintenant que vous n'êtes qu'une gamine sans fondement ni culture.
-Je vous demande de me ramener chez moi, Monsieur le Vicomte dis-je en haussant le ton .
Je monte dans le carrosse avec lui et détourne mon regard vers la fenêtre.
C'est alors que j'aperçus , parmi les arbres, Penelope, l'amie d'Eloïse, vêtue d'une cape.
Que faisait-elle près de la forêt à cette heure-ci ?
Le carrosse s'arrêta devant le pavillon de l'ambassadeur.
Anthony descendit et me tendit la main, que j'ai accepté .
