Et si KAnthony était Reyanthony ?
Vous êtes plongé dans les années 1800 aux 19em siècle dans la société haute londonienne avec des touches de fleurs parfumé et des robes sentant l'époque dans le règne de la reine charlotte , une romance épique au c...
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Chers lecteurs,
Je savais que cet ambassadeur n'était pas quelqu'un de bien ....
Oh bonjour ! Les temps sombres de la guerre se sont dissipés, laissant derrière eux un Londres en pleine effervescence. Les rues résonnent des chants des travailleurs s'affairant à la reconstruction de nos chères bâtisses. Et tandis que la paix s'installe peu à peu, permettez-moi de vous dévoiler les dernières nouvelles de notre belle société.
Tout d'abord, laissez-moi vous annoncer avec une joie éclatante que nous sommes à l'abri des tourments de la guerre depuis une semaine déjà ! Les réparations battent leur plein, et nos rues retrouvent peu à peu leur éclat d'antan. Mes chers lecteurs, allons-nous céder à l'euphorie ? Osons-le, car nos cœurs sont remplis de gratitude envers ceux qui ont sacrifié leur bien-être pour assurer notre sécurité. Saluons les blessés, honorons les âmes des martyrs !
La reine elle-même, souveraine bienveillante, annonce un bal spectaculaire qui se tiendra dans les jours à venir. Une célébration de notre union retrouvée, où les danses endiablées rempliront la salle et les conversations s'épancheront joyeusement. Mais parlons-en de cette intrigue qui fait déjà frétiller les langues ! Une femme guerrière, avez-vous déjà vu cela ? Reyah, la fille, ou devrais-je dire l'ex-fille, de l'ambassadeur, a combattu aux côtés du vicomte, le charmant Lord Bridgerton. Leur alliance insolite s'est forgée dans les flammes de la bataille, mais voilà, la jeune dame repose à présent dans un coma inquiétant. Quelle terrible épreuve pour notre héroïne au nouveau look capillaire !
Cependant, malgré la victoire et la reprise des festivités, une certaine appréhension semble planer dans l'air. Les demandes en mariage se font rares ces jours-ci, et les jeunes filles fraîchement introduites dans notre société s'en inquiètent. Messieurs, réfléchissez-y ! Les prétendantes aux cœurs en quête d'amour attendent avec impatience vos déclarations galantes. Ne laissez pas la peur des lendemains assombrir leur horizon !
Chers lecteurs, je vous exhorte à profiter de ces jours bénis, à danser, à aimer et à célébrer la vie qui reprend ses droits. Mais n'oublions pas d'avoir une pensée pour ceux qui ont payé le prix fort dans cette guerre. Que leurs sacrifices ne soient pas vains et que notre société se reconstruise en une harmonieuse symphonie.
Bien à vous,
Lady Whistledown
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