Tʜᴇ Cʀᴀᴄᴋs Oғ 06𝓙𝓾𝓵𝔂

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Pour moi, l'amour n'était qu'une stupide idée qu'on mettait dans la tête des enfants pour les faire rêver. Fut un temps où j'y croyais. La nuit, je pensais à mon prince charmant avec qui je me marierait plus tard mais finalement, ce n'était que des chimères irréalisables.
En grandissant, j'ai du apprendre la triste vérité. L'amour n'était pas fait pour tout le monde. J'étais sûrement un oiseau solitaire.
Jamais personne ne m'avait aimé comme je l'aurais voulu. Moi ? Oui, il m'est déjà arrivé d'aimer.
Un jour, j'avais rencontrée un homme sur mon île. Puisque la boucle n'avait pas encore été créer, il arrivait que je le croise régulièrement et à different endroit. A chaque fois, nous nous arrêtions pour discuter et son charme ne me laissait jamais indifférente.
J'avais développée des sentiments à son égard et chaques jours, je n'espérais qu'une chose et c'était de le revoir. Cela arrivait assez régulièrement et plus nous discutions, plus nous nous rapprochions jusqu'au jour fatidique. C'était le grand jour. Celui où il c'était décidé à m'embrasser. J'étais aux anges et rien n'allait me faire l'arrêter. Il s'était rapproché, moi aussi, et quand ses lèvres frollèrent les miennes, une voix nous arrêta.
C'était sa femme. Ça vrai femme.
Elle l'avait surprise en pleine infidélité et comme une conne, j'allais devenir la maîtresse de cet homme.

Pourquoi ne m'avait-il rien dit ?
Je n'étais au courant de rien et dans cette situation, je me sentis de trop. Ce n'était pas ce que je voulais et dès qu'il avait expliqué que je n'étais rien pour lui, mon cœur se brisa. Comment un homme avait-il pu jouer ainsi avec mes sentiments ?
J'avais été manipulée et je refusais d'en entendre davantage. C'est ainsi qu'en courant, je mettais enfui pour rejoindre mes enfants qui m'attendaient sagement.
J'avais du cacher mes sentiments et mes larmes. Je ne pouvais leur expliquer une telle chose alors je fis semblant et encore aujourd'hui, ils ne savent rien de cette histoire.
Heureusement, ce manipulateur avait quitté l'île peu de temps après. C'était un soulagement lorsque je du créer ma boucle. Au moins, je n'avais pas à le revoir chaques jours de mon existence.
J'avais mis énormément de temps à m'en remettre. Je me souvenais de mes sanglots la nuit quand personne ne me voyait. Mon cœur souffrait et encore aujourd'hui, penser à cette histoire semblait me replanter une aiguille dans le cœur. Il avait été mon seul espoir et depuis, je n'ai jamais pu recroire en l'amour.

Aujourd'hui, c'était mon anniversaire, le jour le plus important pour les personnes lambda, et le plus terrible pour moi.
Ce jour me rappelait constamment que ma naissance avait été une erreur. Il faut dire que rien de bon n'était arrivé dans ma vie alors comment pouvais-je l'apprécier ?
De toute façon, jamais personne ne me le souhaitait, même pas mes charges. Je me demandais s'ils s'en fichaient où s'ils retenaient jamais la date.

En faite, la seule personne de ce monde qui me l'avait toujours souhaitait, et c'était bien la seule, c'était Miss Avocette, ma mère. Elle n'avait jamais ratée un seul anniversaire de ses anciennes charges. Ce jour là, elle était venue à ma rencontre, m'avait enlacée longuement, me l'avait souhaitée et m'avait même offert un cadeau. C'était un jolie pendentif que j'accrocha aussitôt à mon cou.
Je craignais qu'elle se rende compte qu'elle était bien la seule a avoir un cœur dans cet arpent du diable.

Je m'en était rendu compte pendant le cours de la journée. Absolument personne d'autre était venue à ma rencontre et bien que moi-même je n'aimais pas mon anniversaire, ce fut douloureux de comprendre que les autres ne l'aimaient pas non plus.
Finalement, encore une fois, j'allais me coucher le cœur meurtri.
Je me demandais si mes frères pensaient à moi et si de la où ils étaient ils me le souhaitaient.
Je ne pouvais le savoir mes les étoiles m'en diraient sûrement davantage. Au lieu du plafond de ma chambre, c'est elles que je voulais regarder alors j'alla au grenier, la où une belle fenêtre les devoilait.
Or, cette fenêtre n'était pas la seule présente. Quand j'entra dans la pièce, je vis un homme assis dans un fauteuil. Je n'avais pas voulu le déranger. Je ne savais pas qu'il était là alors rapidement, je me retourna pour partir.

𝑹𝒆𝒄𝒖𝒆𝒊𝒍 𝕄ℙℍ𝔽ℙℂ  ✵ Vᴏʟᴜᴍᴇ IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant