« - Quand je raconte mon agression, j'ai l'impression de mentir. C'est comme si mon cerveau me disait « Ça ne s'est pas passé. Ça ne s'est pas passé. »- Parce que tant que ça reste dans ta tête, c'est irréel. C'est comme une imagination. Il faut que tes mots éclosent, s'échappent de leur cocon : ils deviendront de beaux papillons.
- De vilains papillons de nuit...
- Non, de beaux papillons de vérité. »
Discussion du 06 juillet, 1:30
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