Chapitre 5( parti 1)

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Chapitre spécial

Colonel : Je vous l'accorde, Commandant. Je savais que vous étiez bon au comterre chinois.

Commandant chinois : Pas aussi bon que le comterre ivoirienne, la meilleure des meilleures.

Colonel : Oui, mais vous nous avez fait baver. Merci pour ce mois, ça a été très instructif.

Commandant chinois : Pour nous aussi.

Colonel : Merci Si Yu, merci d'avoir organisé ce séjour et de t'être bien occupé de nous.

Si Yu, souriant : Merci, c'est mon travail.

Colonel : J'espère pouvoir vous rendre la pareille en invitant le comterre en Côte d'Ivoire.

Commandant chinois : Ça nous fera plaisir. Ma fille est étudiante en Côte d'Ivoire.

Colonel : Ah bon ?

Commandant chinois : Oui, à l'université Félix Houphouët-Boigny. Ma femme et moi irons bientôt lui rendre visite.

Colonel : Ce sera excellent, vous inviterait tout les trois à dîner

Commandant chinois: ça sera un plaisir pour nous

Si Yu : Oui.

Notre mission est terminée et nous rentrons aujourd'hui en Côte d'Ivoire. Toutes nos valises sont bouclées et le vol est déjà disponible pour nous ramener.

Le travail avec le comterre de la Chine a été une expérience palpitante. Nous n'avons pas eu de répit et avons travaillé nuit et jour. C'était comme si nous étions en formation commune de base.

Colonel: Il est temps pour nous de rentrer.

Si Yu: Je m'étais dit que ce serait sympa si nous allions en ville pour vous faire visiter.

Colonel: Pour vous remercier de votre hospitalité, je vais vous laisser trois de mes agents pour le week-end, les autres et moi allions rentrer au pays.

Si Yu: Merci, colonel.

Colonel: Je vous laisse le lieutenant Kouadio, le lieutenant Kassi et le lieutenant Coulibaly. J'ai vu que vous vous entendez bien.

Nous: Merci, colonel.

Coulibaly: Mon colonel, j'aimerais profiter pour vous demander la permission d'aller rendre visite à un collègue dans le nord.

Colonel: De quel collègue s'agit-il?

Coulibaly: Lieutenant Singo Marc. Il lutte contre le trafic de drogue à la frontière pour l'ONU.

Colonel: Pas de bêtises. Si vous rencontrez un problème, appelez-moi.

Moi: Sans problème.

Les véhicules chargés de nous ramener à l'hôtel se sont garés près de nous.

Colonel: Mon taxi est là.

Il nous a dit au revoir et il est parti avec nos autres collègues.

Coulibaly : Bon, j'y vais moi aussi(à Isabelle et moi). Vous deux, je vous dis à lundi à Abidjan. D'ici là, pas d'appel, pas de message.

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