verdadero amor-Pablo gavira

20-enfermo

2h55

Je suis fatiguée. Je me retourne en vain mais rien n'y fait. Ma conversation avec Pablo m'a plus que perturbée et que Paloma ne soit pas avec moi m'aide pas.

Elle est facile elle. Il s'excuse elle y retourne.

J'entends ma porte s'ouvrir. Elle se referme mais cette fois à clé. Je n'ose pas me retourner. Je ne veux pas savoir si je vais mourir, me faire kidnappé ou tout simplement violenté.

-Tu devrais pas laisser ta porte ouverte...

Je me retourne toujours pas dans le doute de la personne présente dans ma chambre.

-Je sais que t'arrives pas à dormir. T'es comme moi.

Le gars s'assoit sur le lit et je n'ose même plus respirer.

-J'ai besoin de toi Ivá.

Je reconnais Pablo et lui tire le bras pour lui faire signe de me rejoindre dans le lit. Il s'y glisse et viens passer ses bras autour de mon ventre.

Je suis dos à lui et il me rapproche de lui. Je prend ses mains et entrelacent mes doigts avec les siens. J'entends sa respiration dans mon oreille et son souffle chaud sur ma peau me rassure.

Son odeur m'apaise et m'aide à m'endormir. C'est sûrement pas une bonne idée ce qui se passe mais j'en ai besoin. Et c'est pas ça qui va régler nos problèmes.

...
10h30

Je me réveille seule dans le lit. Je m'y attendais. Paloma rentre dans la chambre et se jette sur le lit.

-T'as bien dormi ? demandais je

-Très bien. Ils sont partis à la présentation d'un de leur nouveau joueur.

-Ok.

-T'es prête pour aller faire les magasins ?

-J'ai pas trop envie finalement.

-Si faut que tu t'achètes un maillot du barca avant leur match.

-C'est bon je vais pas faire la fan girl.

-Bon. Je mange avec Pedri ce midi mais on se rejoins à 13h30-14h.

-Ouais. En attendant laisse moi me réveiller.

-Je vais dans la chambre de Pedri si tu me cherches. Ils doivent bientôt finir.

Elle sort de la chambre et je soupire. J'ai la flemme de bouger aujourd'hui. Je me rendors très vite.

J'ouvre les yeux en entendant du bruit dans ma chambre. Je vois Pablo. Je me mets sur le ventre et enlace le coussin.

-Je t'ai amené un croissant.

-Pourquoi ?

-Ça me faisait plaisir.

-Merci.

Je souris mais garde les yeux fermés. Il s'allonge à côté de moi. J'ouvre les yeux et le vois regarder le plafond, perdu dans ses pensées.

-A quoi tu penses ?

- À nous.

-Et tu t'imagines quoi ?