Chapitre 3: décision 

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PDV:Ayaka

Une semaine était passé, et entre temps j'avais appris à tous les connaître un peu mieux.

Bien sûr, de temps en temps Ania venais pour me rappeler "ma place" et de ne pas trop m'approcher de Tanjiro.

Mise à par ça, dont bien sûr mon frère et tonton n'était pas au courant, tout c'est bien passer.

Le lycée et le collège pourfendeur ont décidé d'organiser un bal, pour Noël.
Quand les filles ont appris la nouvelle, elle se mit en tête de tous nous traîner en séance shopping.

Elle a donc été prévue pour se soir. Mais bien sûr ça ne plaisait pas à certain.

Après le cour de math, avec M.Kibustuji, Ania m'attire dans un couloir peut fréquenter. Et elle me met un coup de poing dans le ventre, pile sur ma blessure.

Putain, ça fait mal.
Je la vois rigoler, avec son air satisfait. J'enrage, mais je ne peux rien faire. Je suis maigre, je n'ai pas de force et je suis plus petite qu'elle.

Je suis à terre, et je tente de reprendre mon souffle.

Elle m'attrape le menton, ce qui me fait lever la tête de force. 

Ania-je t'avais prévenue, de ne pas t'approcher de mon Tanjiro.
-je...n'ai rien...fait.

Elle me lâche le menton, avec une impulsion, ce qui me fit m'écraser par terre.

Ania-sale déchet.

Elle cracha ces mots, en même temps de taper dans mon sac.
Se qui eu pour effet de renverser toutes mes affaires.

Et elle repartie, avec toujours son air satisfait et se sourir hautain.

Après avoir repris mon souffle, je remet mes affaires dans mon sac.
Je descends dans la cour, et rejoins mon frère.

Muichiro-tu étais où?
-au toilette, mais il y avait du monde.
Muichiro-ok.

Aoi me saute dessus, et me fait un câlin.

Aoi-j'ai hâte de se soir, je vais me prendre une belle robe.
Makomo-il nous faudra du maquillage.

Les filles continuèrent de parler du shopping et de mode.
Ce à quoi je ne m'intéresse pas.

Je me tourne vers les garçons et essaye d'entre leur discussion.

Kyojuro-maintenant que les filles sont parties dans leur délire, il est temps de savoir l'avancer des couples.

Tu t'intéresse à ça, je ne savais pas.

Zenitsu-moi j'aime toutes les filles, mais surtout Nezuko, Kanao et puis Ayaka.

Euh... pardon!
Je sens mon frère légèrement mécontent a l'entente de mon nom.

Sabito-c'est pas tellement étonnant de ta part, mais moi j'ai envie de savoir pour Giyu.

Giyu rougit un peu avant de reprendre son sérieux.

Giyu-de quoi, tu veux parler. Je n'aime personne.
Sabito-c'est pas possible comme tu peut être aveugle.
Giyu-hein! De quoi tu parles...

Mais il fut coupé par Genya.

Genya-et tout, grand-frère tu aime quelqu'un?
Sanemi-hein! Euh...non.

Ça cache des choses, je me demande qui est l'élue.
Je ne vais pas joué les cupidons, mais j'écoute par curiosité.

Kyojuro-et toi Tanjiro, tu as quelqu'un?
Tanjiro-ah! Euh....

Il rougit un peu, avant de détourné la tête.

Tanjiro-je crois.
Zenitsu-quoi! Tu me l'avais caché.
Sabito-c'est qui.
Kyojuro-dis nous tout.

Ils l'harcelèrent de questions, mais il fut sauvé par la sonnerie. Qui aller nous amener vers nos dernières heures de cours.

Je regarde mon emploie du temps, et manque de chance.
Mais deux dernières heures sont la science.

Je vais donc être deux heures à côté de l'autre.
J'espère que tout se passera bien.

Mais à peine le cour commencé, elle me fait passé un bout de papier.

"Attend-moi a la fin des cours, devant l'entrée de la salle. N'essaye pas de prévenir quelqu'un."

Je la regarde, mais bien elle m'adresse son éternel sourire.
Je crois que je vais finir par déteste réellement les sourires.

Je pensais juste à la fin des cours, résultats j'ai mal écouté le cour.
J'appréhende le moment où la sonnerie retentira.

Finalement l'heure fatidique arrive et la cloche retentit.

Je range mes affaires et comme demandé je l'attends devant la porte de la classe.
Mais Aoi arrive.

Aoi-tu viens, on y va.
-pars devant, je dois parler à quelqu'un. Mais ne t'inquiète pas, ça sera pas long.
Aoi-ok, mais ne traîne pas trop.

Elle me fait signe et se dirige vers les escaliers.
Au fond, j'aurai aimé qu'elle ne me laisse pas le choix et qu'elle m'emmène. 

Ania arrive et m'attrape discrètement la main, pour me tirer dans un couloir désert.

Elle me plaque contre le mur, et sors une paire de ciseaux, qu'elle me met sous la gorge.

Elle relève ma manche, de mon bras droit, et sors une deuxième paire de ciseaux.
Et sans prévenir elle me fait une entaille.

Je ne peux m'empêcher de pousser un cri, qu'elle fait immédiatement taire en appuyant un peu plus les ciseaux sur ma gorge.

On peut voir un peu de sang couler de l'entaille, satisfaite elle range ses paires de ciseaux.

Ania-si jamais tu vas à cette sortie, il se pourrait que l'on refasse la scène.

En disant ces mots, elle appuie fort sur la cicatrice de mon ventre.

Elle part, et je m'effondre à terre.
Je reste, un moment comme ça, avant de me relever.

Je sors du bâtiment et rejoins mon frère au portail.
Les autres sont partis chez eux se changer.

J'ai bien sûr caché la plaie et j'exprime un sourire sur mon visage.

Pas question qu'il s'inquiète.
Il doit vivre sa vie et ne pas s'inquiéter pour sa petite sœur.

Sur le chemin, je suis en plein débat intérieur.
D'un côté je voudrais y aller et m'amuser. Mais d'un autre côté est-ce que j'ai vraiment le choix.

Arriver à la maison, ma décision est prise.
Je monte me changer, et descend attendre mon frère. 

Elle n'a pas a guider ma vie, je fais mes propres choix.
Et puis j'ai des amis sur qui comptés.

Je ne laisserai plus jamais personne ceux que j'aime.

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Le média est Ania, c'est à quoi je m'imagine.

J'espère que l'histoire vous plaît toujours.
Moi, je prend plaisir à l'écrire.

A plus!

Le lycée des pourfendeurs Où les histoires vivent. Découvrez maintenant