Chapitre 5:fête

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PDV:Ayaka

Le cour se finit, et je m'éclipse de la classe.
Je me rends dans le fameux couloir, quand j'entends ses bruits de pas. Je me sens frissonner.

Elle me plaque contre le mur, et met une paire de ciseaux sous ma gorge.
Puis elle prends son sac, pour en sortir cette fois, un couteau.

A la vue de la lame, je me sens très mal.
Elle est aiguisé, et pas besoin de toucher pour le savoir.

Elle approche la lame, tout doucement, de mon bras droit.
Elle enlève la paire de ciseaux, et relève ma manche. On peut encore voir l'entaille d'hier.

Et elle me fait une entaille, mais cette fois, elle est plus grosse et plus profonde.
Je ne peux m'empêcher de pousser un cri de douleur.

Ania sort un tissu de sa poche et me le fourre dans la bouche.
Je ne peux plus crier, et elle recommence.

Elle me fait plusieurs entaille sur mes deux bras, puis approche la lame au niveau de mes cuisses.
Et elle recommence, mais elle fait bien attention à ce que ce soit caché, par mes vêtements.

Une fois satisfaite, elle range la lame et retire le bâillon improvisé.
Elle s'en va, non sans un petit commentaire.

Ania-tu sais se qu'il t'attend la prochaine fois que tu désobéis.

Une fois partie, toute la pression lâche, et je tombe à terre.
Je tente de reprendre mon souffle, et de me relever.

Putain, ça m'énerve ! J'en ai marre, mais je peux rien. Mais j'ai mal.

Je sens mon téléphone vibrer, dans mon sac, et je l'attrape.

Début de la conversation

Mui
Je sors de mon club, t'es encore au lycée?

Moi
Non, je t'ai attendu. Je suis au portail.

Mui
Ok, merci. J'arrive.

Fin de la conversation

Je me relève et descends les escaliers.
Je m'approche du portail, et heureusement Mui n'est pas encore là.

Je le vis arriver, on part sur le chemin de la maison.
Une fois arriver, je file dans la salle de bain. Pour panser mes plaies.

Ça fais un mal de chien!
Mais je ne dois pas les inquiéter.

Heureusement demain on a pas cour.

Le reste de la soirée c'est bien passer et le repas était délicieux.

Une fois dans ma chambre, je sors un livre. Mais mon téléphone sonne.

Début de la conversation

Shinobu💉
Demain on a pas cour, vous voulez venir à la maison. Faire une soirée.

Nezuko🎍
Ça serai trop bien, je viens.

Tanjiro☀️
Moi aussi je viens, et vous?

Le lycée des pourfendeurs Où les histoires vivent. Découvrez maintenant