Chapitre VIII

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deux semaines sont passées depuis cette nuit avec Tom.

Je pense que si je ne l'avais pas arrêté dans son élan, on aurait sûrement couché ensemble

Putain.

Et depuis, il ne m'a pas envoyé de message, et ne m'a pas appelé non plus.

Je le suis toujours dans la rue grâce à sa localisation, veillant sur lui comme une nounou.

Rien d'extraordinaire, hormis le faite qu'il a couché avec une fille dans les toilettes d'un bar.

Mais ça, ce n'est qu'un détail.

Il sort avec son frère et ses amis du groupe, fait des interviews sur différentes chaînes télévisées et organise un concert dans neuf mois.

Il y a des changements au sein de notre résidence depuis ces deux semaine.

Des hommes de main d'Arman assurent la sécurité de chaque entrée du bâtiment.

J'ignorais pourquoi il y avait cette nouvelle sorte de protection.

De mon côté, je n'ai eu aucune ordre de la part du chef.

Je m'occupais juste de Kaulitz.

Quant à Angèle, elle a tué trois hommes et une femme, pour se faire de l'argent derrière leurs dos.

Elle m'avait rejoins tard dans la nuit dans ma chambre y a quelques jours, pour me dire qu'elle m'était du pognon de côté pour notre échappatoire.

On ne savait pas comment s'y prendre, on avait pas fait de plan d'évasion encore.

On se contenter juste de faire notre travail, sans lever le moindre soupçon et gagner plus d'oseilles.

18h30

Il est six heures et demie de l'aprem, et je me retrouve sur le toit d'un restaurant pour avoir la vue sur Tom.

Il était avec son groupe au milieu du centre ville, entouré de quelques fans.

Il signe des autographes et fait des photos avec elles.

Je m'impatienter dans le froid, malgré mon pull  en laine.

Je regardai autour de moi, les gens qui entrèrent et sortaient dans les boutiques.

Je jeta un coup d'œil à Tom, il parler avec une grande brunette. Quant à Bill, Georg et Gustav, ils finissaient de prendre des photos avec deux autres filles.

Je souffla d'épuisement et d'ennui.

Quand je vis au coin de l'œil un léger mouvement.

Je tourna ma tête vers celui-ci, remarquant que c'était une silhouette.

Elle était contre le mur d'une boutique de prêt-à-porter

Son regard était dirigé vers les Tokio Hotel, les observants attentivement.

J'avais supposée que c'était une de leurs groupies, mais sa tenue porter à confusion

Elle était habillée en noir de la tête au pied, et porter une cagoule, cachant son visage.

Sa morphologie me faisait croire que c'était une femme, ses vêtements étaient serrés à sa peau, laissant apparaître ses courbes.

Elle était accroupie sur le sol avec un objet dans les mains.

Mais avec le peu de lumière qui dégager des lampadaires, je ne vis pas correctement ce qu'elle tenait en main.

En plissant mes yeux, j'ai compris qu'elle avait un flingue.

❝𝐒𝐢 𝐭𝐮 𝐬𝐚𝐯𝐚𝐢𝐬❞ Tom Kaulitz Où les histoires vivent. Découvrez maintenant